De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Paris, Lyon, Marseille… Les marges de négociation dans l’immobilier se sont-elles effondrées dans les grandes villes l’an dernier en raison de la crise sanitaire ? Cela dépend des zones. Une chose est cependant sûre, le marché de l’immobilier ancien se porte, pour l’heure, toujours bien, rapporte Capital.
Les prix de la pierre sont restés stables, et les volumes de vente élevés. Selon les différents acteurs du secteur (Century 21, la Fnaim et Meilleurs agents), le nombre de transactions est évalué entre 950 000 et 990 000, contre un peu plus d’un million en 2019. Les chiffres définitifs doivent être communiqués prochainement par les notaires.
Une dynamique, certainement boostée par le confinement et le désir de nature et d’espace extérieur des Français, qui n’a ainsi pas poussé les vendeurs à accepter des offres bien plus basses que le prix proposé, pour conclure une vente. Au contraire…
Achat immobilier : des marges de négociation majoritairement en baisse
Selon le réseau Century 21, les marges de négociations ont diminué dans la majorité des grandes métropoles durant l’année 2020. Dans l’Hexagone, les réductions accordées ont chuté en moyenne de 0,9%. Elles sont passées de 6,2% du prix de mise en vente pour les maisons en 2019, à 5,3% du prix en 2020. Concernant les appartements, les ristournes ont aussi baissé, dans une moindre mesure. Elles sont passées en moyenne de 4,9% du prix de mise en vente en 2019 à 4,5% en 2020.
Dans quelques métropoles toutefois, les acheteurs ont été plus avantagés en 2020 que 2019. Découvrez les marges de négociation moyenne constatées en 2020, dans notre diaporama ci-dessus.