La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Ceux qui l’attendaient seront déçus. Le fondateur du réseau social américain Facebook, Mark Zuckerberg, a dit jeudi lors de questions/réponses avec des internautes ne pas vouloir du bouton "Je n’aime pas" sur son site. "Vous savez, nous avons réfléchi à ce sujet, au bouton 'Je n’aime pas' (…) Le bouton 'J’aime' est précieux parce que c’est un moyen rapide de partager un sentiment positif. Certaines personnes ont demandé que nous fassions un bouton inverse pour qu'ils puissent dire que quelque chose n’est pas bien mais nous n’allons pas le faire. Je ne pense pas que ce soit bon pour la communauté", a-t-il affirmé.
Mais face aux nombreuses demandes des utilisateurs du réseau social, l’équipe technique réfléchit toutefois à une alternative. "Un grand nombre de fois les gens partagent des posts sur Facebook qui sont des moments tristes dans leur vie (…) Et souvent, les gens nous disent qu'ils ne se sentent pas à l'aise en appuyant sur 'J’aime' car ce n’est pas le sentiment approprié. Je pense donc que donner aux gens cette possibilité, avec plus d'émotions, serait fort. Nous devons trouver la bonne façon de le faire de sorte qu'il finisse par être un vecteur positif et non une manière de rabaisser les posts que publient les internautes".
Le créateur de Facebook a également réagi à l’étude publiée il y a quelques mois selon laquelle son réseau social rendait ses utilisateurs tristes car ils se sentent plus seuls. "Nous ne voulons pas rendre les gens tristes... Nous pensons que nous avons une responsabilité envers notre communauté à ce sujet. Nous devrions faire en sorte que les changements que nous apportons soient positifs", a-t-il conclu.
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