La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Nombreux sont les épargnants à avoir profité de la crise sanitaire. Fin avril 2021, ils avaient tout de même économisé quelque 160 milliards d’euros, indique Boursorama sur son site. Un montant important, que d’aucuns au gouvernement aimeraient voir réinvestis dans l’économie, de sorte à financer la relance de la machine productive et, par extension, de toute la nation. Mais au-delà des désidératas des ministres et des autres, que devriez-vous faire de tout cet argent ? Quels sont les placements les plus pertinents pour vous ; qu’importe s’ils s’avèrent égoïstes ? Éléments de réponse.
Investir après le coronavirus : se constituer une épargne de précaution
Vous feriez peut-être bien de commencer par vous constituer - ou reconstituer votre - une épargne de précaution. Comme son nom le dit si bien, indique le quotidien Les Echos, il s’agit d’un capital que vous serez en mesure d'activer en cas de coup dur. En général, les Françaises et les Français ont tendance à la placer sur un livret bancaire, quand ils ne considèrent pas tout simplement leur compte courant comme la meilleure option de précaution, insiste le journal de référence en économie.
Ne perdez pas de vue qu’il ne s’agit pas là de gagner de l’argent ; mais bien d’en bloquer pour les éventuelles périodes de disettes. Par conséquent, il est important de ne pas trop alimenter le compte que vous aurez identifié comme "sous clef". Gardez-y deux à trois mois de salaire ou de pension, par exemple. D’autres produits d'épargne vous aideront mieux à faire fructifier votre argent…
Livret A, LDDS… Quels sont les meilleurs livrets bancaires, après le coronavirus ?
Peut-être, comme beaucoup de Françaises et de Français, pensez-vous opter pour un livret bancaire à l’issue de la crise sanitaire. Si tel est le cas, souligne encore Boursorama, vous aurez probablement l’embarras du choix. Et pour cause ! Il existe autant de livrets qu’il n’y a de banques. Le plus populaire, bien sûr, est le Livret A. Mais il a nombre de petits frères et de cousins susceptibles de vous intéresser.
Ainsi, Le livret de développement durable et solidaire présente un certain nombre de caractéristiques comparables. Comme le Livret A, il s’agit d’un produit d’épargne rémunéré et dont les fonds demeurent accessibles en permanence. Il peut être ouvert par n’importe quel individu âgé d’au moins 18 ans et profite de taux similaires. Une alternative intéressante… D’autant plus quand l’on sait qu’il est possible de le cumuler avec son grand frère.
Pour rappel, le Livret A jouit d’un taux d’intérêt décidé par l’Etat, actuellement fixé à 0,5%. Les intérêts versés par la banque sont, en outre, exonérés d’impôts.
Ce ne sont néanmoins pas les seuls livrets qu’il faille mentionner…
Investir post-covid : quid du Livret d’Epargne Populaire ?
Le Livret d’Epargne Populaire (LEP) est plus spécialisé que le Livret A ou que le Livret de développement durable et solidaire (LDDS). Il n’en reste pas moins, souligne une fois encore Boursorama, un placement intéressant pour quiconque voudrait s’en tenir aux livrets bancaires à l’issue de la crise sanitaire… et s’avère éligible.
En effet, le LEP est réservé aux aux personnes dont les revenus sont jugés modestes. Comme le Livret A, son taux de rendement est décidé par l’Etat et les gains générés sont exonérés d’impôts sur le revenu. Il n’y a pas non plus à payer de prélèvements sociaux dessus. Dès lors, ses souscripteurs savent qu’ils vont gagner 1% par an, jusqu’à nouvel ordre !