De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Les enquêteurs recherchent toujours Maëlys, 9 ans, aperçue pour la dernière fois dans la nuit du 26 au 27 août alors qu’elle participait à une fête de mariage avec ses parents à Pont-de-Beauvoisin en Isère. Ce vendredi, les autorités ont décidé de faire appel à une brigade venue du Centre national d'instruction cynophile de la gendarmerie basé à Gramat, le groupe national d’intervention cynophile (GNIC, créé en 2002).
Cette unité est notamment accompagnée d’un maître-chien spécialisé dans la recherche de restes humains, qu’ils soient brûlés ou enterrés, comme le précise France 3. La chaîne ajoute qu’il avait été jusqu’à maintenant impossible de faire venir le chien sur les lieux de l’enquête. Ce dernier a fouillé ce matin les deux îlots du lac d’Aiguebelette, un endroit clef des recherches. Le lac, situé à une dizaine de kilomètre du domicile du suspect, a d’ailleurs déjà été fouillé par des plongeurs, sans succès.
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D’autres indices clefs ?
Outre le lac, les enquêteurs s’intéressent, selon une source proche du dossier citée par le Dauphiné libéré, de très près aux prélèvements effectués à la station de lavage. Ils se penchent notamment sur l’analyse des cheveux et des peaux présentes dans les eaux usées de la station. C’est là que le suspect, Nordal L., a lavé sa voiture le lendemain de la disparition de Maëlys.
Un autre élément s’est ajouté récemment à l’enquête : une photo. Le suspect aurait été photographié dans sa voiture la nuit de la disparition, sauf que sur le cliché, on peut distinguer à ses côtés une forme blanche, précise Le Dauphiné Libéré.
Ecroué, depuis plus de 40 jours, Nordal L. continue de clamer son innocence. L’homme devait être entendu jeudi par les jugfes d’instructions mais ses avocats ont demandé un report, ne disposant pas de l’ensemble des pièces du dossier.