De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
La course à l’or est ouverte ! Après des années passées sous silence, l’or pourrait bel et bien redevenir un métal très recherché d’ici quelques temps, si l’on en croit les récentes découvertes réalisées dans une région française. En effet, d’ici plusieurs années, comme le notifient nos confrères de L’Internaute, un site avec un “potentiel de gisement important” va être exploité avec, en perspective, l’extraction de kilos de pépites dorées. Il se pourrait donc qu’une nouvelle ruée vers l’or voit le jour dans l’Hexagone tandis que l’Etat vient de donner son feu vert. Découvrez quelle région abrite, à l’heure actuelle, “plusieurs dizaines de tonnes d’or”.
Or enfoui : un trésor convoité
La nouvelle fait rêver les ambitieux et les audacieux : plusieurs dizaines de tonnes d’or seraient aujourd’hui enfouies dans une région française. Face à cette nouvelle, pour le moment, ce sont également 2 400 tonnes d’or, qui sont enterrés à 27 mètres de profondeur dans le coffre-fort de la Banque de France. Il s’agit ici de la réserve d’or de l’Etat français, qui est la quatrième plus importante au monde derrière les Etats-Unis, l’Allemagne et l’Italie. Sa valeur s’élève aujourd’hui à près de 144 milliards d’euros.
En France, c’est finalement une autre région qui attire les convoitises avec la possibilité de voir plusieurs dizaines de tonnes d’or être extraites d’ici quelques années. Alors que l’Etat s’est montré favorable à cette entreprise, l’objectif est de “contribuer grandement à l’indépendance d’approvisionnement de la France et de l’Europe en métaux précieux et stratégiques”. Pour l’instant, les principaux sites aurifères connus en France sont les Côtes d’Armor, le Gard et les Pyrénées, mais un quatrième d’importance va être révélé.
Or enfoui : un site bien déterminé
Récemment dévoilé, le nouveau site où se situe ces dizaines de tonnes d’or est localisé dans l’ouest du pays, au cœur du Limousin. C’est dans une zone comprise entre Limoges, Brive, Périgueux et Angoulême qu’un périmètre de recherche a été déterminé. Il comprend ainsi les communes de Chalard, Ladignac-le-Long (Haute-Vienne) et de Jumilhac-le-Grand (Dordorgne).
Ce site n’a pas été sélectionné par hasard puisqu’il s’agit d’une ancienne exploitation minière, dite du “Bourneix”, fermée en 2002, qui a été le théâtre de recherche d’or au fur et à mesure des siècles. Actuellement, ce sont donc “plusieurs dizaines de tonnes d’or” qui sont toujours enfouies à cet endroit.
Or enfoui : une extraction réservée à des professionnels
Toujours dans cette zone de recherches, le village du Chalard est également en lisière de “l’un des plus gros districts aurifères français, avec des teneurs supérieures à la moyenne internationale”, comme l’indique Thomas Poitrenaud, géologue et président des mines arédiennes.
Dans cet espace, l’or va, bien évidemment, être recherché, mais il est aussi question de déceler de l’argent, de l’étain, du cuivre, du zinc, du plomb ou encore du nickel. L’extraction est néanmoins encadrée et réservée à la société Aurelius Ressources, filiale d’une société anglaise éponyme, spécialiste de l’exploitation minière.