Paul Christophe, ministre des Solidarités, de l’Autonomie et de l’Égalité entre les femmes et les hommes, a dévoilé, dans un entretien donné à Ouest-France, les modalités de paiement de la prime de Noël...
La période du mois d’avril est souvent synonyme de préparation des vacances d’été qui approchent à grands pas. D’ici quatre mois, une grande majorité des Français et des Européens partiront pour leurs lieux de repos annuels. Si certains optent pour l’habitude, c’est-à-dire aller au même endroit que les années précédentes, d’autres choisiront une nouvelle destination.
Anticiper votre réservation
Si l’on prend dans l’ordre les bons réflexes à avoir pour ne pas être stressé à l’idée de préparer ses vacances, il est indispensable de prévoir à l’avance. C’est un peu comme lorsque vous allez faire des courses, le plus pratique étant de faire une petite liste des choses à acheter pour ne manquer de rien.
Afin d’avoir la possibilité de resterautant de temps en vacances que les années précédentes, réserver son séjour à l’avance est une bonne idée. Lors des années Covid, vous étiez nombreux à prévoir à la dernière minute, notamment au vu des incertitudes liées à la pandémie. Désormais, il est préférable de se préparer bien à l’avance.
De plus, la très haute saison est délaissée au fil des années au vu des prix exorbitants proposés par les différents organismes de vacances. D’après une étude de l’European Travel Commission (ETC), 40 % des personnes choisissent de voyager du début au milieu de l’été (de juin à juillet). En revanche, seulement 23 % s’attendent à faire des voyages en août et en septembre, chiffre en baisse de 9 % par rapport à l’année dernière.
Les destinations les moins chères sont les plus prisées
Parmi les pays les plus privilégiés par les voyageurs figurent bien évidemment la France, mais aussi l’Espagne. Toujours selon l’étude de l’ETC, 8 % des touristes européens sont attirés par ces deux pays dans lesquels le beau temps est au rendez-vous. Quatre pays sont respectivement classés juste derrière : l’Italie avec 7 %d’intention, la Grèce compte 6 % et l’Allemagne attire 5 % des touristes de l’Union européenne.Sans aucun doute, le critère météo est un argument de premier lieu dans le choix des vacanciers. Avec 18 %, le soleil devance les bonnes affaires avec 17 %. Le critère prix est évidemment déterminant même s’il faut décaler un peu ses dates de voyages.
Une bonne nouvelle pour l’environnement
Toutes ces informations évoquées précédemment ne peuvent être que bénéfiques d’un point de vu environnemental. D’un côté, les flux touristiques s’élargissent et permettent une diminution des émissions de gaz. Une majorité des voyageurs choisissent de se déplacer par le moyen de locomotion le plus utilisé, la voiture, tandis que d’autres choisiront l’avion ou encore le train. L’élargissement de la période de départ en vacances aide à répartir les allés et venus.
L’environnement n’étant pas épargné ces derniers temps, c'est une bonne nouvelle. Le président de l’ETC, Luis Araujo, juge que "cette tendance positive soutient la gestion durable des destinations en répartissant plus uniformément les flux touristiques". Selon lui, "les entreprises et les destinations devraient prendre en compte ces tendances afin de répondre aux besoins changeants des voyageurs".