De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Le sexisme et la misogynie sont encore particulièrement présents dans notre société. Si beaucoup ignorent, souvent consciemment, cette réalité, elle n’en demeure pas moins présente, et ce, dans tous les domaines. Le milieu de la gastronomie n’en est pas exclu et, pour les femmes, se faire une place parmi les chefs peut s’avérer plus que compliqué.
"À cause de leurs règles, le goût des femmes est fluctuant ; c’est la raison pour laquelle elles ne peuvent pas être maîtres sushis", ces propos en sont la preuve. Recueillis par Télérama, ils sortent tout droit des cuisines d’un restaurant japonais étoilé.
La gastronomie : un milieu sexiste ?
Il faut dire aussi que le milieu culinaire est encore très masculin. Si dans les écoles, la parité est respectée, c’est loin d’être le cas dans la profession. Selon une étude réalisée par l’Insee, seulement 28% des postes de cuisinier et 17% des postes de chefs sont occupés par des femmes, peut-on lire sur le site 750g.
Cette réalité se reflète également dans les étoiles distribuées par le très réputé Guide Michelin. Parmi les 44 nouvelles étoiles de l’édition 2023, seulement 10% ont été remises à des cheffes, remarque Terrafemina. Parmi elles, on compte notamment Georgiana Viou, Jeanne Satori, Camille Pailleau, Nidta Robert ou encore Cybèle Idelot.
Top Chef est en quelque sorte le reflet de ce milieu. À chaque édition, la part de femme est bien inférieure à celle des hommes. En 2022, seules trois étaient présentes sur 15 candidats. Dans l’histoire de l’émission, seules trois femmes ont été proclamées gagnantes, voici leur portrait en images.