
Son temps de parole à la télévision dépasse légèrement celui de ses prédécesseurs, mais cette visibilité accrue s'explique aussi par l'évolution des médias et la transformation de la consommation de...
Transfert réussi pour Julia Vignali. L’été dernier, la partenaire de Thomas Sotto quittait sa place dans Télématin pour reprendre les rênes d’Affaire conclue sur France 2. Celle qui succédait à Sophie Davant s’est illustrée sur un nouveau terrain de jeu où elle accompagne désormais les vendeurs afin de faire évaluer leur bien.
Trois mois après son arrivée dans Affaire conclue, l’animatrice quadragénaire enchaîne les succès d’audience pour le groupe France Télévisions. À l’image du premier numéro spécial Noël, diffusé le 4 décembre dernier, qui a enregistré un record de 20,8% de part de marché à 17 heures. "C'est une révélation. Le bilan est très positif", a-t-elle assuré dans un entretien accordé pour Puremedias.
"J'avais compris que c'était une émission importante avec beaucoup d'audience et de visibilité mais au départ, j'ai surtout été opportuniste en me disant 'wow, c'est énorme ce qu'on me propose'. J'ai pensé au challenge", assure la compagne du comédien Kad Merad à notre confrère. Le moins que l’on puisse dire, c’est que l’ex-matinalière de France 2 n’était pourtant pas une grande adepte des antiquités. "Je n'ai pas de passion pour les antiquités, à part pour mon mari", plaisantait-elle pour Télé Star en août dernier.
Dès son premier jour de tournage cet été, Julia Vignali a su trouver sa place dans le programme grâce aux acheteurs qui l’ont accueillie. "Ils sont hyper accueillants même s'ils sont forts en gueule. Je pense que ça ne triche pas et qu'on a une très chouette relation", confie-t-elle à Puremedias avant de révéler le surnom qu’elle a hérité de leur part. "Ils m'appellent "La patronne", j'adore".
Pour les fidèles chineurs de l’émission, Julia Vignali se fait aussi appeler "Madame brocante". Une étiquette qui ne semble pas déranger la principale concernée, bien au contraire. "Non seulement je l'assume mais je vais appuyer ça", avant de plaisanter. "Oui être la "femme objets", au pluriel, de France Télévisions, évidemment que ça m'intéresse". Une figure incontournable du service public qui compte bien s’imposer dans d’autres émissions auprès des Français.