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Sophie Thalmann : de Miss France à animatrice télévisée
Le 13 décembre 1997, la jolie Lorraine Sophie Thalmann remportait le concours de beauté Miss France 1998 devant 15 millions de téléspectateurs. Sacrée plus belle femme de l'hexagone, elle se fait connaître peu à peu du grand public grâce à ses apparitions médiatisées à la télévision. Elle participe notamment à Une famille en or sur TF1 ainsi que Fort Boyard.
A la fin de son année de sacre, Sophie Thalmann se voit proposer un poste en tant que consultante sportive dans le magazine Téléfoot sur TF1 aux côtés Thierry Roland. Une reconversion inédite pour la Miss qui ouvrira la voie à ses successeurs. Au fil de sa carrière télévisée, la jolie brune s'est vue proposer l'animation de plusieurs programmes dont Y'a pas photo, Les P'tits Princes ou encore Photos de vacances. De 2003 à 2004, elle anime avec Pierre Sled (ex-compagnon de Sophie Davant) l'émission Vous pouvez répéter la question ? sur France 3. Plus récemment, Sophie Thalmann a été le joker d'Elodie Gossuin en animant de 2017 à 2019 le programme Les Années bonheur sur France 2.
Une passion pour les chevaux
De 2004 à 2007, l'ancienne Miss France prend un virage à 180 degrés et intègre la famille d'Equidia, une chaîne dédiée aux courses hippiques. Un thème que la star connaît bien puisqu'elle est mariée depuis 2006 au jockey belge Christophe Soumillon, lauréat de dix Cravache d'or. Le couple est devenu parent de deux enfants : Charlie et Mika. Ces dernières souffriraient de difficultés d'apprentissage comme elle l'avait confié à Gala en 2021. "Je ne chôme pas avec la course aux rendez-vous chez les spécialistes : ma fille est dyscalculique et mon fils est dyslexique !". Elle a sorti également de nombreux ouvrages dont Mes amis les chevaux qui comporte 34 tomes.
Depuis le 30 septembre 2022, le mari de l'ex-France est dans la tourmente après avoir provoqué la chute d'un concurrent lors d'une course à l'hippodrome de Saint-Cloud (Hauts-de-Seine). Devant les caméras d'Equidia, le jockey a immédiatement reconnu son erreur. "Je voulais m'excuser auprès de tous les gens qui aiment les courses, le sport", avait-il déclaré. Mais ses excuses n'ont pas suffi à lui éviter les 60 jours de suspension par la société France Galop. Selon le média Jour de Galop, la police des Courses et des Jeux envisage de plus lourdes sanctions vis-à-vis du jockey belge. Sa suspension pourrait être prolongée et sa licence pourrait lui être retirée, ce qui ne lui donnerait plus le droit de remonter sur un cheval.
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