Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
Une idée a priori lumineuse, mais qui pose tout de même une question : une puce électronique peut-elle vraiment remplacer l’odorat ? Un nez possède en effet pas moins de 400 cellules olfactives, qui lui permettent de reconnaitre et surtout de distinguer des centaines d’odeurs. La puce électronique conçue par Adamant Technolgies devrait elle être munie d’environ 2000 capteurs, soit à peu près autant que la truffe d’un chien. L’idée est donc prometteuse.
La société a déjà commencé à faire fabriquer ses puces au Texas. Elles seront ensuite insérées à une sorte de petit périphérique qu’il faudra ensuite raccorder à son téléphone avant de l’utiliser via l’application smartphone ad hoc, laquelle devrait être disponible d’ici deux ans. Adamant Technologies promet également que l’application proposée sera nettement plus performante que celle actuellement disponible sur l’Apple Store. « L'halitose (le nom savant de la mauvaise haleine, NDLR) nous intéresse vraiment. C'est le genre de chose que même votre meilleur ami ne vous dira pas forcément. L'application, elle, ne fera pas que vous avertir mais vous expliquera comment traiter le problème » indique Sam Khamis, le patron d'Adamant. Si cette puce prouve son efficacité, elle pourrait aussi, pourquoi pas, être déclinée à d’autres domaines, et permettre par exemple de mesurer son taux de diabète.