Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
C’est à n'y rien comprendre. Le 24 août dernier, Bruno Cibin, un chef d’entreprise de Meurthe-et-Moselle, a été flashé en moto alors qu'il se rendait à son travail, a indiqué l’Est Républicain. Le lundi suivant, il a reçu une contravention de 45 euros. Dans la foulée, l’homme a décidé de régler directement son PV, assumant parfaitement son excès de vitesse.
Seulement voilà, l’entrepreneur s’est aperçu quelques minutes plus tard que le courrier indiquait que les infractions commises avec un véhicule de société ne doivent pas être payées toute de suite par le chef d’entreprise. Comme l’a précisé Le Dauphiné Libéré, Bruno Cibin aurait d’abord dû dénoncer le conducteur, même s'il s’agissait de lui-même.
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Un nouveau PV de 450 euros
Après s’être rendu compte de son erreur, Bruno Cibin a immédiatement appelé l’organisme s’occupant de la gestion des contraventions. Celui-ci lui a gentiment indiqué qu’il n’y avait rien à faire : son règlement ne pouvait pas être annulé.
Pour couronner le tout, il devra s'acquitter d'une amende de 450 euros ! "Et dire que cela me paraissait normal de dénoncer les conducteurs d’un véhicule de société. Il n’y avait pas de raison qu’ils échappent au code de la route. J’étais favorable à la nouvelle réglementation. Mais là, j’ai l’impression d’être le cocu de l’histoire", a expliqué le patron à l’Est Républicain.
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