La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
La loi s’immisce dans l’intimité des Russes. A partir du 1er juillet, il sera officiellement impossible aux Russes de se procurer des culottes, strings et autres sous-vêtements 100% en dentelle, rapporte Le Point. La faute à une loi votée en 2010 par la Commission économique eurasiatique, laquelle règlemente l’Union douanière eurasienne. Ainsi, en plus de la Russie, le Kazakhstan et la Biélorussie vont également être concernés par cette mesure restrictive.
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90% des sous-vêtements vendus dans la région sont de mauvaise qualitéInitialement, le texte qui entrera en application mardi prochain ne devait interdire que la vente et l’achat de dessous de mauvaise qualité "composés d’éléments de synthèses, tels que le nylon ou le polyester, qui seraient une menace pour la santé des consommateurs" à cause de la prolifération des bactéries favorisées par ces matières, précise l’hebdomadaire, lequel ajoute qu’ "à cause d’une erreur dans le texte, les sous-vêtements en dentelle, qui n’est pas toujours synthétique, se sont retrouvés dans le même panier". Mais alors que cette loi concerne 90% des dessous commercialisés dans l’union douanière (selon un site d’information russe cité par Le Point), de nombreux magasins pourraient être amenés à fermer. Les Russes devront par ailleurs se tourner vers des produits de meilleures qualités et donc plus chers.
Une mesure de "re-soviétisation" ?Si cette mesure se veut garante de la bonne santé de citoyennes russes, kazakhes et biélorusses, elle n’en suscite pas moins de nombreuses critiques. En février dernier, une trentaine de femmes surnommées les "Panty Riot", avaient manifesté à Almaty (Kazakhstan) pour réclamer "la liberté de culotte", indique Le Point qui reprend une information du Guardian. En 2010, quelque temps après le vote de la loi, la secrétaire d’Etat américaine Hillary Clinton était, quant à elle, monter au créneau pour dénoncer une mesure "de re-soviétisation de la région".
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