Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
Un drame survenu à cause de dysfonctionnements ? Dans un hôpital de Bourgoin-Jallieu, dans l'Isère, des parents ont appris la mort de leur fils, âgé de 45 ans, une semaine après son décès.
"Admis le 16 février en gastroentérologie pour des maux de ventre, le patient, originaire de Crémieu (Isère), devait sortir du centre hospitalier Pierre Oudot le 24 février au matin. Mais, ce jour-là, une infirmière l'a retrouvé mort, allongé sur le sol de sa chambre", explique le journal Le Parisien, qui relaie l'affaire.
Plus surprenant, le personnel de l'hôpital avait indiqué aux parents du patient que ce dernier avait quitté l'établissement. Et encore plus dérangeant, ce n'est qu'une semaine après le décès qu'ils ont été mis au courant... par la police.
"On peut penser que l'hôpital a quelque chose à cacher"
Comment cela se fait-il ? Au moment du décès, "un médecin a posé un obstacle médico-légal, obligeant l'hôpital à prévenir la police et le parquet, ce qui n'a été fait que le 1er mars, soit six jours plus tard", précise Le Parisien.
"On peut penser que l'hôpital a quelque chose à cacher. Quelque chose dans ce décès et dans les conditions dans lesquelles il a été géré pose problème", a de son côté déclaré le procureur de Bourgoin-Jallieu, cité par l'AFP.
Le parquet de de la ville a ordonné une autopsie qui a révélé que le défunt est décédé d’une embolie pulmonaire massive. Une enquête a également été diligentée pour faire la lumière sur ce drame.