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A partir du 1 er janvier 2018, les parcmètres à Paris ne seront plus contrôlés par des fonctionnaires, puisqu’ils passeront au privé. Cette réforme votée mardi a divisé le Conseil de Paris. Certains élus craignent un "matraquage" des automobilistes.
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Pour la mairie de Paris, c’est un coup dur. C’est "s’attaquer à une incivilité invraisemblable ", indique Rémi Féraud, président du groupe PS, cité par le Huffington Post. Alors que 90% des automobilistes ne paient pas pour une place de stationnement payante dans la rue, la Ville de Paris pourrait connaître un manque à gagner de 300 millions d’euros environ.
Un "arrêt-minute" gratuit entre 5 et 15 minutes ?
La réforme est passée de justesse, avec 74 voix pour (socialistes, radicaux de gauche et de nombreux UDI-MoDEM), et 68 contre (communistes, Parti de Gauche et les Républicains. 13 voix se sont abstenues (les écologistes).
Le vote a surtout été déterminé par les centristes, qui souhaitent aussi envisager la possibilité d’un "arrêt-minute" gratuit entre 5 et 15 minutes. Le groupe communiste, très opposé à cette réforme, souligne que la gestion du stationnement devait "rester exercée par le service public".
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