Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
La semaine dernière, Kunkush, un chat égaré en Grèce, a pu retrouver ses maîtres, une famille irakienne réfugiée en Norvège. Comme le rapporte le Guardian, c'est grâce à la mobilisation des réseaux sociaux que ce chat a pu retrouver ses maîtres. Le quotidien britannique a publié une vidéo de ces retrouvailles émouvantes.
Cette famille a quitté l'Irak en 2015, pour fuir la guerre. Leur chat, Kunkush, un angora blanc avait suivi ses maîtres sur la route vers l'Europe, jusqu'à l'île de Lesbos en Grèce où il s'est égaré. Il a quitté son panier à l'arrivée sur la plage. Après des heures de recherches, la famille a donc été obligée de repartir sans lui.
A lire aussi : Grande-Bretagne : les criminels retrouvés grâce à leurs chats
Une mobilisation au delà des frontières
Tandis que la famille poursuivait son périple sur les routes d'Europe, le chat a lui été pris en charge par des bénévoles qui l'ont nourri et ont lancé plusieurs avis de recherches. Un groupe Facebook a été crée pour amplifier les recherches. Cette page a été soutenue par plus de 4000 utilisateurs. C'est une bénévole allemande qui, avec l'argent récolté, a fait un aller-retour Berlin-Lesbos pour garder ce chat, rebaptisé "Dias", chez elle en attendant qu'il retrouve sa famille.
Grâce à cet élan de mobilisation, la famille a retrouvé les traces de son petit félin. La bénévole avait été contactée par une personne qui habite en Norvège et qui lui a dit qu'une famille de réfugiés irakiens était à la recherche d'un chat qui pourrait correspondre à "Dias".
Une belle histoire parmi celles des réfugiés d'Europe. Sur la page de recherche du chat, les trois jeunes femmes qui avaient lancé cette recherche ont remercié dans un post toutes les personnes ayant contribué à ces retrouvailles en concluant par : "Cette histoire est celle de l'espoir. Elle montre que les barrières qui nous séparent sont celles que nous créons dans nos têtes".