Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
Si le Parlement devait ratifier ce vote, la présidente du FN pourrait se voir mise en examen et se retrouver devant la justice pour des propos jugés racistes tenus en 2010. En déplacement à Lyon, Marine Le Pen avait comparé les prières de rue des musulmans avec l’Occupation durant la Seconde Guerre mondiale. « Je suis désolée, mais pour ceux qui aiment beaucoup parler de la Seconde Guerre mondiale, s'il s'agit de parler d'occupation, on pourrait en parler, pour le coup, parce que ça c'est une occupation du territoire » avait-elle déclaré.
Sous le coup de plusieurs plaintes émanant de différentes associations luttant contre le racisme, Marine Le Pen avait vu la France demander au Parlement européen, en 2012, via le ministère de la Justice, la levée de son immunité parlementaire, empêchant toute action en justice durant son mandat. Marine Le Pen pourrait alors avoir à répondre de ces propos devant un tribunal. Une procédure qui a touché Bruni Gollisch à deux reprises, mais aussi Jean-Marie Le Pen en 1998, quand il avait qualifié les chambres à gaz des nazis de « détail de l’histoire de la Seconde Guerre mondiale ».