Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
Royaume-Uni : Katie Hopkins, star de la téléralité
Imaginons Nabilla ou Loana défendre les couleurs de l'euroscepticisme au Parlement européen. Difficile d'imaginer que cela puisse devenir réalité. En revanche au Royaume-Uni, c'est bien Katie Hopkins, ex-star de la téléréalité, qui se présente aux élections européennes dans la région sud-ouest. Connue pour ses positions conservatrices et ses frasques cathodiques, l'ex participante de The Apprentice a provoqué de nombreuses polémiques sur Twitter moquant notamment un accident d'hélicoptère ayant causé la mort de 10 personnes en Ecosse.
Cette dernière avait alors ironisé sur le drame en affirmant que les Ecossais seraient prêts à faire "n'importe quoi pour échapper à l'obligation de travailler avant la retraite". Katie Hopkins n'en est pas à son coup d'essai, elle s'était déjà présentée en 2009 et n'avait pas réussi à atteindre 1% des suffrages.
Italie : La petite fille de Benito Mussolini
Alexandra Mussolini, petite fille du dictateur, est un peu une "touche à tout". De chanteuse à actrice, de présentatrice à icône provocatrice posant nue pour Playboy, elle intègre finalement le monde politique en 1992. Elle fonde alors un nouveau parti pour défendre "l'héritage mussolinien". Elle sera d'ailleurs élue à l'équivalent du conseil municipal de Naples sous cette étiquette. En 2007, elle siège dans le groupe de Bruno Gollnisch (FN) au Parlement européen baptisé "Identité, tradition et souveraineté".
Seulement, ce groupe ne survit pas à la polémique qu'elle déclenche en faisant un amalgame entre Roumains et Roms. Cette année, c'est sous les couleurs de Forza Italia, parti de Berlusconi, qu'elle se présente devant les électeurs.
Finlande : Mitro Repo, prêtre orthodoxe
Prêtre médiatique, l'homme d'Église était jadis courtisé par différents partis politiques souhaitant s'approprier son capital sympathie. Ce sera le parti social démocrate qui aura sa préférence pour les élections européennes de 2009. Il sera par ailleurs élu. Or, à partir de là, ça se gâte un peu pour Mitro Repo. Rayé de l'ordre par les autorités religieuses, l'eurodéputé voit alors son image s'écorner à petit feu.
Décrié pour son côté "bon vivant" n'hésitant pas à préparer du saumon au champagne devant les journalistes venus lui rendre visite, Mitro Repo se voit depuis peu soupçonné d'être particulièrement sensible aux charmes féminins. Tellement sensible que des "comportements déplacés" se font jour dans la presse le menant alors à s'excuser publiquement pour sa conduite. Il n'empêche, c'est toujours sous l'étiquette des sociaux démocrates qu'il se présente en 2014.