De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Ils ont tous été placés sous "surveillance renforcée". Le jeudi 25 février 2021, Jean Castex se présentait une fois de plus devant les Françaises et les Français, quoique peut-être plus sombre qu'à son habitude. Un "poids lourd du gouvernement" décrivait d'ailleurs Olivier Véran et le Premier ministre comme "deux condamnés" s'avançant "vers l'échafaud" alors qu'ils approchaient tous deux du pupitre, informe Le Parisien. C'est que la crise sanitaire n'en finit pas. Pire : la situation sanitaire se dégrade et le ton de l'Élysée change. Il y a quelques mois, le chef de l'État faisait savoir combien les scientifiques prônant un confinement l'agaçaient. Dorénavant, il s'y résout, quoique à l'échelon local seulement. En effet, c'est l'un des points essentiels à retenir de la conférence de presse donnée par le Premier ministre : il n'y aura pas - dans l'immédiat, du moins - de mise sous cloche nationale.
Coronavirus : quels sont les départements qui inquiètent le plus l'exécutif ?
La situation épidémiologique s'est largement dégradée, du fait notamment des variants mutants du SARS-CoV-2. Le variant britannique, en particulier, se propage de façon considérable dans la population française.
Certains départements étant plus touchés que les autres, le gouvernement a décidé de les placer sous surveillance spéciale. Il s'agit cette fois de respecter les réalités sanitaires diverses qui composent notre pays. Plus de détails, en images, dans notre diaporama.
En pratique, résume le journal spécialisé Numerama, tous ces départements présentent des caractéristiques communes que voici : ils affichent un niveau d'incidence élevé (au moins 250 cas pour 100 000 habitants), font face à une pression hospitalière complexe, voire critique, et la circulation virale s'accélère en leur sein. La part du variant y est d'ailleurs supérieure à 50%.