De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Le Figaro. Il s’agit du premier essai et les contraintes sont nombreuses, mais les résultats semblent encourageants. Avec une autonomie de seulement 20 minutes et une portée d’environ 1 km, le vol est limité. La loi n’autorise pas non plus l’engin à s’élever plus haut que le tablier du pont, mais la SNCF envisage de multiplier ce type d’opérations dans les deux ans à venir.Des progrès à faire« On vérifie que les drones sont capables de détecter les microfissures sur les ouvrages d'art » explique le responsable de l’innovation et de la recherche chez SNCF Infra, Jean-Jacques Thomas. A terme, les drones pourraient également surveiller les caténaires. Les avaries sur les rails en revanche ne peuvent être détectées que par des ultrasons. « Pour les missions de sûreté, telles que la prévention des vols de câbles ou l'intrusion d'individus sur les voies, il faudra attendre au moins trois à quatre ans » explique de son côté Nicolas Pollet, responsable de la mission drones. « À l'heure actuelle, les vols de drones sont interdits la nuit. Or c'est à ce moment-là que sont commis ces actes ».
C’est une première. La SNCF vient de faire voler des drones équipés de caméras au-dessus de son réseau ferré, afin de tester l’utilisation de ces appareils dans la détection des avaries matériel. Ce mardi, la SNCF a lancé un drone sous le viaduc de Roquemaure, qui traverse le Rhône. Mission : l’inspection de l’ouvrage malgré les trains qui défilent toutes les 4 minutes. Repérer les défautsBeaucoup plus petit que les drones militaires (environ trois kilos pour un mètre d’envergure), l’engin envoie ainsi les images directement les écrans scrutés avec attention par l’opérateur, explique