![](/files/styles/pano_m/public/images/article/2/5/1/2967152/vignette-focus.jpg?itok=ig_Ux4hC)
INTERVIEW. Noëlle Châtelet, écrivaine et présidente de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), se confie le suicide de sa mère mais également sur son combat sur le droit à mourir.
Voilà - enfin ! - venu le temps des vacances. Ou presque, pour celles et ceux qui ont décidé de partir plus tard, aux alentours des mois d’août ou de septembre. Pour peu qu’il soit en effet possible de partir à ces dates-là ! Après tout, la résurgence de la crise sanitaire et la dégradation de la situation épidémiologique en France comme dans tout ou partie du reste du monde a de quoi inquiéter. D’ores et déjà, pour regagner le pays, certains ressortissants partis en Espagne ou au Portugal doivent montrer patte blanche et fournir une preuve de leur état de santé. En outre, la liste des pays placés par l’Hexagone en liste rouge croît de nouveau.
De quoi inquiéter, assez mécaniquement, les Françaises et les Français qui commencent seulement à préparer leurs congés estivaux. C’est d’autant plus vrai que l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM) publiait récemment un nouveau rapport mettant en exergue plusieurs scénarios viraux susceptibles de gâcher au moins la deuxième partie de l’été, révèle BFMTV sur son site d’informations. Plus d’informations à ce propos dans notre diaporama.
En pratique, poursuit la chaîne d’information, plusieurs départements apparaissent comme particulièrement menacés. C’est le cas de ceux du Sud et du Sud-Ouest du pays ; qui pourraient être les plus touchés par la quatrième vague. "L'immunité, déjà, est assez faible dans ces départements. On a également une présence importante de foyers du variant Delta. Et, enfin, on a une augmentation de la population attendue pendant l'été", rappelle Vittoria Colizza, chercheuse à l’Inserm interrogée par nos confrères.
Découvrez encore plus d'actualités, en vous abonnant à la newsletter de Planet.
Votre adresse mail est collectée par Planet.fr pour vous permettre de recevoir nos actualités. En savoir plus.