De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Non, nous n’en avons pas fini avec le coronavirus Covid-19. Bien sûr, la majorité (sinon la quasi-intégralité !) des restrictions sanitaires ont été levées en France. Et force est de constater que, au global au moins, l’épidémie semble perdre du terrain sur le sol hexagonal. Comme l’explique Capital, les autorités recensent moins de nouveaux cas de contamination à l’échelon national. Le nombre de patients arrivant à l’hôpital en raison d’une infection au Sars-CoV-2 tend lui aussi à se réduire. Tant et si bien, affirment nos confrères, qu’il ne faudrait plus que “quelques efforts” pour enfin “cocher les objectifs initialement fixés par Olivier Véran.
Longtemps avant l’élection présidentielle, ce dernier avait en effet fixé le seuil maximal de contamination pour prétendre à la suspension du pass vaccinal. Le taux d’incidence (qui correspond, rappelons-le, au nombre de nouveaux cas recensés pour 100 000 habitants) ne devait pas excéder 500 par département.
Une bonne nouvelle à n’en point douter ! Pourtant, poursuit encore Capital, les chiffres de la semaine glissante du 24 au 30 avril 2022 dévoilent aussi l’émergence de nouveaux cas positifs. Certains taux d’incidences sont encore très largement supérieurs aux chiffres évoqués, en dépit de la tendance globale à la baisse comme en témoignent les statistiques dressées par Santé Publique France. Plus d’informations à ce propos dans notre diaporama, que vous retrouverez en conclusion de cet article.
Covid-19 : les nouveaux signes qui inquiètent
Ce n’est pas tout. En Afrique du Sud, deux nouveaux sous-variants d’Omicron sont à l’origine de forts pics épidémiques, informe Le Parisien. Une nouvelle vague de la pandémie s’y déroule désormais et pourrait donc théoriquement rejaillir sur d’autres nations. Il ne faut pas non plus oublier certaines des nouvelles séquelles de la maladie découvertes par les médecins.
En moyenne, précise Slate sur son site, 5 à 15% des patients hospitalisés souffrent désormais d’altérations conséquentes de leurs capacités de raisonnement ainsi que de traitement de l’information. Ce “déclin cognitif” s’apparente à “vingt ans de vieillissement” d’après les chercheurs.