De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Si la situation n'est pas hors de contrôle, elle reste inquiétante. Cette semaine, le gouvernement a voulu délivrer un message d'espoir aux Français, plusieurs ministres se félicitant du choix d'Emmanuel Macron de ne pas avoir voulu reconfiner le pays il y a deux semaines, contre l'avis d'une partie de la communauté scientifique. Depuis les dernières annonces de Jean Castex vendredi 29 janvier, la situation reste stable dans l'Hexagone, avec un plateau haut des contaminations mais qui, selon Gabriel Attal, est dans une logique "déclinante".
Covid-19 : la circulation du virus toujours "très élevée"
Dans son dernier rapport, publié le jeudi 11 février, Santé Publique France alerte tout de même sur des indicateurs épidémiologiques qui "montraient un maintien à un niveau très élevé de la circulation du SARS-CoV-2, impliquant une tension persistante du système hospitalier". "Dans le contexte de la diffusion de variants plus transmissibles, l'hypothèse d'une aggravation de la situation épidémiologique dans les prochaines semaines fait toujours partie des scénarios à envisager", ajoute l'agence de santé publique.
S'il n'y a donc pas lieu de s'inquiéter à l'instant T, il faut tout de même rester prudent pour les prochaines semaines. En moyenne, ce sont 19 858 cas par jour qui ont été confirmés entre le 1er et le 7 février 2021. Le nombre de patients hospitalisés pour Covid-19 reste "très elevé" selon Santé Publique France, qui conclut : "Le maintien à un niveau très élevé du nombre d'hospitalisations et d'admissiosn en réanimation est préoccupant du fait de la tension du système de soins depuis plusieurs semaines, avec des situations hétérogènes selon les régions". Alors que l'Hexagone n'a pas de quoi se réjouir, certains départements s'en sortent mieux, puisque leurs indicateurs (cas et hospitalisations) sont à la baisse, selon le site CovidTracker. Voici lesquels.