De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Le maire fouille les poubelles
Dans la petite commune d'Isles-sur-le-Doubs (Franche-Comté), le maire et ses administrés ont littéralement fouillé dans les poubelles pour retrouver les auteurs de dépôts sauvages d'ordures, rapporte l'Est Républicain. Et la fouille peu réjouissante a tout de même porté ses fruits puisque seize personnes ont été identifiées. Le maire de l’Isle-sur-le-Doubs (à 60 km au nord-est de Besançon) a décidé de porter plainte à la gendarmerie pour ces dépôts sauvages. L’amende peut atteindre les 500 euros .
Le maire prend en chasse un voleur de portefeuille
Fin janvier, le maire (LR) de Valence, Nicolas Daragon, avait enfilé sa casquette de gendarme et entamé... une course-poursuite avec un homme qui venait de subtiliser, sous ses yeux, le portefeuille d'un automobiliste dans une station-service, rapportait Le Dauphiné libéré. En même temps, l'édile avait pris soin de contacter la police qui, avec son aide, est très vite arrivée pour finalement interpeller le voleur. "J’ai fait ce que tout citoyen aurait fait", avait sobrement déclaré le maire au Dauphiné.
Laurent Wauquiez, super flic du Puy-en-Velay
Cette histoire n'est pas sans rappeller celle de Laurent Wauquiez, le maire (LR) de Puy-en-Velay (Auvergne-Rhône-Alpes), qui avait entamé une course-poursuite le 9 septembre 2015 contre "deux jeunes à scooter" qui "ont failli faucher une personne âgée", comme le rapportait Le Progrès. Après avoir franchi plusieurs feux rouges, les deux jeunes ont été rattrapés par Laurent Wauquiez qui, pour les punir, a promis "pendant un mois" de les "mettre en peine d’intérêt général au centre technique municipal à 6 heures du matin."
Robert Ménard tente d'expulser des migrants
Quand il s'agit de faire appliquer la loi dans sa commune, Robert Ménard n'est pas en reste. L'édile de Béziers (Hérault) s'était ainsi mis en scène dans une vidéo où on le voyait, écharpe tricolore en bandoulière, aller déloger lui-même des familles de réfugiés syriens installés illégalement dans des appartements de la ville. "Vous n’êtes pas les bienvenus (...) Vous volez l'eau et l'électricité, vous n'avez pas à occuper les logements (…). Si vous avez envie d'être accueillis, vous allez dans des villes ailleurs prêtes a le faire, je ne suis pas prêt à le faire dans ces conditions", avait-il notamment déclaré à un migrant.