Paul Christophe, ministre des Solidarités, de l’Autonomie et de l’Égalité entre les femmes et les hommes, a dévoilé, dans un entretien donné à Ouest-France, les modalités de paiement de la prime de Noël...
La chanson Ouvrir son cœur que Francis Lalanne a réalisé en faveur de l’accueil des réfugiés est moquée depuis plusieurs jours par les internautes. La cause ? Ces derniers trouvent les paroles niaises et l’accusent d’opportunisme. Mais le chanteur ne s’est pas laissé faire et a décidé de répondre dans un long message publié sur son compte Facebook. L'occasion pour lui de défendre ses paroles et son engagement face aux critiques.
"Ce sujet est hélas mon cheval de bataille depuis bientôt 20 ans. À l'époque où j'ai sorti la chanson, je m'inquiétais de la fermeture officielle des lieux d'accueil transitoire et je ne cessais de répéter à qui voulait m'entendre que cela risquait d'aggraver la situation des réfugiés, a-t-il expliqué. Faut-il se taire au moment où une prise de conscience mondiale semble susciter l'intérêt des gouvernants ? Je pense au contraire que c'est le moment où jamais de reprendre ensemble les refrains que d'aucun jusqu'ici ont fait profession d'ignorer."
Blessé par les critiques, Francis Lalanne veut porter plainte
Pour dissiper tout doute sur son prétendu opportunisme, le chanteur a également ajouté : "Faut-il préciser bien sûr que je ne touche pas d'argent sur la publication Youtube de ce titre? Et que si c'était le cas, je reverserais bien évidemment l'intégralité aux associations qui mènent le même combat que moi depuis 20 ans".
Les paroles ne sont pas les seules à avoir été moquées. Le clip du morceau s’ouvre sur un dessin du jeune Aylan, le petit migrant syrien mort sur une plage de Turquie. Des images d’embarcations et de réfugiés en détresse sont ensuite distillées durant toute la durée de la vidéo. On peut également y apercevoir Francis Lalanne jouer du piano dans une pièce dont le décor est particulièrement "kitsch" selon les internautes.
Blessé par les critiques, le chanteur a confié à l'Express qu'il hésitait à porter plainte contre certains médias.