
Ce vendredi 14 mars, Météo France a placé 30 départements en vigilance pour neige-verglas dont 3 départements en alerte orange. Découvrez-les au sein de notre diaporama.
Les noms de famille en France sont riches, souvent liés à des métiers, une caractéristique physique ou morale, une zone géographique, une culture ou encore à des prénoms. “On estime que plus de 40 % des Français portent un prénom comme nom de famille. Si ce prénom est masculin, on l’appellera patronyme (nom transmis par le père) ; s’il est féminin, ce qui est beaucoup plus rare sauf dans quelques régions de France (le Calvados notamment), on parlera de matronyme”, précise Généanet, le site spécialisé en généalogie.
Au fil des années, le nombre de patronymes n’a fait que d’augmenter. “On est passé de 520 000 en 1900 à 1,3 million avec les vagues d'immigrations successives d'Espagne, du Portugal, d'Afrique du Nord, et aujourd'hui, environ 1,5 million”, explique la généalogiste Marie-Odile Mergnac dans les colonnes du Parisien.
Certains patronymes restent plus communs que d’autres. Selon les informations de Geneanet, qui a regroupé ses données avec celles de l’Insee pour comptabiliser toutes les naissances de 1891 à 2000, certains noms de famille sont présents depuis un siècle en France.
D’autres noms de famille sont plus difficiles à porter. Toujours d’après le classement, on retrouve le patronyme “Gros” en 208e position, devant “Legros” puis “Bigot”, “Sauvage”, “Bègue”, “Cornu”, “Bras”, “Boulet” ou encore “Leborgne”, précise Le Parisien.
Depuis l’adoption de la loi Vignal en juillet 2022, qui a assoupli les démarches administratives, les Français sont de plus en plus nombreux à changer de patronyme. Entre juillet 2022 et décembre 2023, près de 150 000 personnes ont ainsi remplacé le nom d’un parent par celui de l’autre, ou ajouté le nom de leur mère à celui de leur père. Une évolution qui permet aux matronymes, longtemps relégués au second plan, de retrouver enfin leur place.
Au sein de notre diaporama, découvrez le classement des patronymes les plus répandus en France.