Ce lundi 25 novembre, le procès de Ludovic Bertin s’est ouvert, dans le cadre de la mort de Victorine Dartois, retrouvée noyée dans un ruisseau à Villefontaine en 2020.
"L’école Nice-Matin" ou "l’école La Provence". Tels pourraient être les noms des centres de formation que Bernard Tapie souhaite désormais créer. Dans un entretien accordé à Nice-Matin, le patron du groupe de presse a en effet expliqué que "L’Etat ne peut pas tout, les collectivités ne peuvent pas tout. Nous devons créer une multitude de services que la collectivité des lecteurs peur générer car, l’air de rien, l’ensemble de nos journaux du Sud est lu par plus de 1,5 million de lecteurs par jour". Estimant être "poussé" par "la situation du chômage", Bernard Tapie entend ainsi recréer les écoles de formation qu’il avait fait naître entre 1988 et 1994. "Elles s’appelleront l’école Nice-Matin et l’école La Provence. Elles seront dans l’enceinte même de nos journaux (et) formeront à tous les métiers du commerce", a-t-il détaillé avant d’ajouter que ces établissements seront "opérationnels pour la rentrée prochaine".
Les ajustements de Bernard Tapie
Quelques mois après avoir racheté le groupe de presse Nice-Matin, Bernard Tapie a, semble-t-il, plusieurs idées en tête pour rentabiliser son acquisition. En déplacement mercredi à Bastia, il a en effet indiqué qu’il envisageait une évolution dans l’organisation du journal Corse-Matin ainsi qu’une certaine diversification du titre. Celui-ci est considéré comme le mieux portant de tout le groupe devant Nice-Matin et Var-Matin. Bernard Tapie a également invité ses salariés à prendre davantage le virage du numérique et du multimédia, ainsi que "dans la société".