La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
C’est une arnaque “surprenante” qui a été déjouée il y a quelques jours dans un supermarché de Saint-Etienne (Loire), rapporte actu.fr.
Dimanche 24 avril, deux hommes de 19 et 27 ans se rendent au Casino pour faire leurs courses, comme des centaines de consommateurs ce jour-là.
Au moment de passer en caisse, toutefois, les employés du supermarché sont circonspects. Les deux compères ont un panier bien rempli, or, le total, lui, n’est que de 19,95 euros.
Curieux, car certains des produits achetés sont plutôt onéreux : des rasoirs, des sous-vêtements…
Les vigiles décident d’intervenir, et d’inspecter le contenu de leur caddie. Ils remarquent alors avec surprise que les petits malins ont tout simplement… trafiqué les codes-barres de leurs produits.
Ils ont malicieusement collé par-dessus les codes-barres existants des étiquettes, imprimées sur la balance au rayon fruits et légumes, et dont les prix défient toute concurrence.
En réalité, leurs achats coûtaient la coquette somme de 315 euros. Ils ont donc réalisé une “économie” de près de 200 euros.
Sauf que, la supercherie découverte, évidemment, ils ont dû payer leur dû et ont surtout été interpellés par les forces de l’ordre.
Arnaque au code-barre : un phénomène répandu
Ce n’est pas la première fois qu’une telle escroquerie a lieu dans les commerces de l’Hexagone.
Il y a plusieurs mois, un homme avait utilisé la même technique pour acheter une console à prix cassé, rapporte Capital, en la pesant au rayon fruits et légumes. Résultat, à la caisse, l’appareil affichait 9 euros, au lieu des 340 fixés initialement.
Un autre client avait usé d’un stratagème similaire, en passant de surcroît aux caisses automatiques, pour encore plus de discrétion. Mais son arnaque a été vite débusquée par un vigile du supermarché. Plus récemment, toujours selon Capital, un individu avait tenté d’acheter une hotte chez Ikea pour la modique somme de 2,39 euros, en collant dessus une étiquette qu’il avait rapportée de chez lui.