La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Le Covid-19 progresse encore dans plusieurs départements français. Le sujet est pourtant beaucoup moins abordé, et les français s’en soucient peu ces derniers temps. C’est notamment dû à l’actualité chargée de ces dernières semaines, avec la Guerre en Ukraine et l’élection présidentielle.
Depuis le début du mois d’avril, le taux d’incidence en Hexagone reste globalement stable et oscille autour des 1400. Les derniers chiffres de Santé Publique France font ainsi état de 1407 cas pour 100 000 habitants en France et sont datés du 9 avril dernier.
Ces niveaux peuvent paraître élevés, mais ils sont à relativiser, car nous sommes loin de ceux atteints lors de la cinquième vague en janvier 2022. En effet, à cette époque-là, le taux d’incidence était monté bien plus haut, atteignant les 3809 cas pour 100 000 habitants le 24 janvier 2022.
Cependant, on assiste tout de même à un regain de l’épidémie depuis quelques temps, qu’il est important de surveiller si l’on ne souhaite pas se retrouver de nouveau dans une situation similaire. Il y a encore un peu plus d’un mois, le 5 mars 2022, le taux d’incidence sur le territoire français était de 545,7. Depuis il a été multiplié par 2,5.
Covid-19 : vers une quatrième dose de vaccin ?
Arme globale face au virus, la vaccination en France a elle aussi atteint des niveaux particulièrement élevés depuis sa mise en place sur le territoire. Mais le gouvernement prévoit de potentiellement la renforcer en ouvrant davantage la possibilité d’effectuer une 4e dose de vaccin.
Le jeudi 7 avril 2022, Olivier Véran, le ministre des Solidarités et de la Santé a ainsi annoncé, sur le plateau de RTL, qu’une deuxième dose de rappel serait possible pour les français âgés de 60 ans s’ils sont à six mois de leur dernière injection de rappel.
Cette disposition pourrait s’élargir de plus en plus, et potentiellement en premier lieu dans les départements dont le niveau de vaccination pourtant élevé ne parvient pas à neutraliser la progression du Covid-19. Voici les départements qui pourraient être concernés.