La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Ambiance sur le plateau d’ "On n’est pas couché" samedi soir. Invitée de l’émission, Ségolène Royal s’est en effet emportée contre Yann Moix. En cause : les questions de ce dernier sur sa gestion de la région Poitou-Charentes entre 2004 et 2014. Le journaliste a en effet évoqué l’audit rendu par le cabinet Ernst & Young au printemps derniers et dans lequel il est indiqué que sous le mandat de celle que l’on surnomme "La Dame du Poitou", 198 millions d’euros d’emprunts toxiques ont été contractés, dont "47 millions à très haut risques". Après un bref rappel des faits, Yann Moix s’est adressé à son invitée et lui a demandé si tout cela était le fait "de la manigance ou de l’incompétence".
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"C’est de la diffamation, c’est tout"
Une question qui n’a pas plus à Ségolène Royal, laquelle s’est empressée de répondre : "C’est de la diffamation, c’est tout. Vous ne savez pas ce que c’est la diffamation ? Vous venez d’en commettre une nouvelle…". Une réplique qui n’a pas empêché Yann Moix de poursuivre en cherchant à savoir si "l’argent public était fait pour être investi dans des produits spéculatifs". Mais là encore, la ministre a botté en touche, assurant que toutes ces accusations étaient "fausses". "Ceux qui sont aujourd’hui à la tête de la région, qui malheureusement a été fusionnée, et qui veulent justifier soit l’abandon des politiques que j’ai conduites, soit pouvoir montrer que pendant 10 ans, il n’était pas possible de pouvoir bien gérer sans augmenter les impôts (…) ont besoin de dénigrer les résultats".