La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Elle ne lâchera pas. Selon les informations de RTL, Bernadette Chirac a saisi ce lundi 24 novembre le Conseil d’Etat pour protester contre le redécoupage des cantons qui engendrera la suppression du sien, en Corrèze. En effet, l’ex-première dame compte bien se représenter dans son fief pour les prochaines élections cantonales, désormais rebaptisées "départementales".
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Et pour cause, c'est d'un septième mandat consécutif dont il s'agit. Ce qui explique le fait qu'elle n’ait pas du tout l’intention d’abandonner sa terre électorale. Preuve de sa détermination, l’octogénaire serait allée en toucher deux mots directement au président de la République selon les informations du JDD. "Monsieur le Président, j’ai l’intention d’être candidate l’an prochain" a-t-elle déclaré à François Hollande qui lui a répondu que "c’était une bonne idée".
Et l’ex-première dame ne se prive pas de se montrer menaçante pour arriver à son but. En effet, elle avait déclaré au mois de mars dernier : "si je tombe dans la trappe, je dirai un certain nombre de choses".
Refus du Conseil d'Etat
Si cette initative témoigne de sa pugnacité, celle-ci est resté vaine. En effet, le rapporteur public du Conseil d'Etat a rejeté dans l'après-midi la demande faite par Bernadette Chirac. Présente lors de l'annonce du verdict, celle-ci s'est refusée à tout commentaire. Comme le rapporte l'AFP, c'est son avocat qui s'est chargé de s'exprimer à sa place. Ce dernier explique que "MMe Chirac a peu d'espor" et qu'elle se contetera de faire un "communiqué court et sanglant" lorsque cette décision sera officialisée.
En outre, Me Bernard de Froment a fait savoir qu'un recours devant la Cour Européenne des Droits de l'Homme est envisageable.
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