La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
À une semaine du premier tour de la présidentielle 2017, le président de la République, François Hollande, est sorti de son silence. Pourtant, il avait promis de ne pas prendre part à la campagne avant le résultat du premier tour. Dans le viseur du président, deux candidats que tout oppose : Jean-Luc Mélenchon et Marine Le Pen.Selon François Hollande, si la candidate du Front national arrive au pouvoir, il se sentirait responsable. "Tout le monde se sentirait responsable . [...] Si le chef de l'État n'avait pas prévenu, n'avait pas averti, ce qui est ma responsabilité jusqu'au bout, il se sentirait le premier responsable de l'arrivée au pouvoir d'un parti d'extrême droite en France", a déclaré le président de la République au micro des journalistes de France 5.
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"Il a des facilités qui, quelques fois, tombent dans le simplisme"
Interrogé sur la montée en puissance de Jean-Luc Mélenchon, le président de la République a considéré que le candidat de la France insoumise ne représentait pas la gauche qu'il considère comme celle qui permet de gouverner. "Il a des facilités qui quelques fois tombent dans le simplisme. On ne peut pas dire qu'il n'y a pas de responsabilité dans les massacres chimiques en Syrie. On ne peut pas mettre en cause ce qui a été la grande construction de l'Union européenne et surtout quand on se réclame de François Mitterrand", a précisé le chef de l'État.François Hollande est ensuite revenu sur la campagne électorale, qui selon lui, ne permet pas, cette année, de concentrer le débat sur les programmes des candidats.