De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Ce mardi matin, l’ancien président controversé de l’UMP était entendu par les juges du Pôle financier du tribunal de Grande Instance de Paris qui mènent les investigations portant sur les pénalités infligées à Nicolas Sarkozy et payées par l’UMP.
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En 2012, le Conseil constitutionnel avait invalidé les comptes de campagne de l’ex-chef de l'Etat pour "dépassement de plafond autorisé" et c’était le parti de l’opposition qui avait réglé en novembre 2013 la note de 400.000 euros, grâce notamment au "sarkothon".
En juillet dernier, le parquet de Paris avait ouvert une enquête préliminaire sur ce dossier estimant que le paiement de ces pénalités par le parti pouvait constituer un "abus de confiance" au préjudice de l’UMP. C’est dans ce cadre que Jean-François Copé, à l’époque président du parti, a été entendu. La trésorière de l’UMP, Catherine Vautrin, a quant à elle été mis examen dans cette affaire en décembre 2014.
Par ailleurs, Nicolas Sarkozy avait sorti le chéquier dès sa prise de fonction à la présidence de l’UMP pour s’acquitter des pénalités de la campagne de 2012 auprès du parti.
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