Pendant la période des fêtes de fin d’année, une nouvelle méthode de fraude particulièrement sournoise émerge : des faux conseillers bancaires qui utilisent WhatsApp pour tromper les Français.
- 1 - Martine Aubry en panique
- 2 - Rachida Dati flingue
- 3 - Les troubles digestifs d’Edouard Philippe
- 4 - Jean-Luc Mélenchon et le sens de la formule…
- 5 - Nicolas Sarkozy : un papa, des papas...
- 6 - Claire O’Petit inquiète pour l’avenir des jeunes
- 7 - Christophe Castaner et le fashion faux-pas
- 8 - Emmanuel Macron va reprendre un pass Navigo
- 9 - Alain Juppé, hilare
- 10 - Marine Le Pen – Gérald Darmanin, score final 1 à 2
Martine Aubry en panique
Dans Paris Match , la maire de Lille s’est confiée sur ses talents de cuisinière. Outre apprendre qu’elle maîtrise particulièrement bien la recette de l’osso Bucco, Martin Aubry révèle que comme beaucoup de gens, le stress a des effets sur son alimentation, et de lâcher : "Quand je suis stressée, je mange".
Rachida Dati flingue
En plein mois de juillet, Le Monde consacre un long portrait à Rachida Dati. La maire du VIIème arrondissement de Paris balance alors une anecdote sur son animosité avec Brice Hortefeux qui ne manque pas de piquant… : "Pendant la dernière campagne présidentielle, parce qu’il fallait se réconcilier, je montais dans l’avion avec lui, mais je le saluais en disant : “Bonjour, le guignol”, puis je disais : “Vous ne trouvez pas que ça sent le nazi ici ?” (...) Un jour, devant un ascenseur, je lui dis : “Alors le facho, ça va ?” Il me répond : “Ça va, intrigante.” Là, je me retourne et je lui mets un coup de poing dans la gueule, et il se mange le miroir !"
Les troubles digestifs d’Edouard Philippe
Edouard Philippe s’est livré début juillet sur sa relation avec Emmanuel Macron. Même si le Premier ministre s’est exprimé sur le ton de l’humour, la remarque a de quoi faire mouche : "Je me sens mal, si mal. J’ai la boule au ventre tous les matins à l’idée de bosser avec ce castrateur". (Le Parisien)
Jean-Luc Mélenchon et le sens de la formule…
Peu avare d’envolées lyriques, le leader de la France Insoumise a fait une entrée remarquée à l’Assemblée Nationale. Fin juin, il s’en est pris au député, mathématicien de formation, Cédric Villani. "J'ai vu le matheux, je vais lui expliquer ce que c'est qu'un contrat de travail et il va tomber par terre, a-t-il tancé. Il ne le sait pas tout simplement. Il ne sait pas que la journée de huit heures, c'est cent ans de lutte. Le gars, il croit que ça toujours été comme ça"
Nicolas Sarkozy : un papa, des papas...
Papa poule avec Giulia, l’ancien président de la République emmène souvent sa fille à l’école. Mais comme le révèle Valeurs Actuelles, pas question de prendre de nouvelles responsabilités… "Quand je la dépose à l'école, il y a beaucoup de parents dont je pourrais être le père... Mais je les ai prévenus : hors de question que je sois représentant des parents d'élèves", aurait-il dit.
Claire O’Petit inquiète pour l’avenir des jeunes
La députée LREM a largement réussi à se démarquer cet été par ses petites phrases et ses déclarations parfois cinglantes. Lorsque la diminution des APL a été annoncée, elle n’a pas été tendre. "Si à 18, 19 ans, 20 ans, 24 ans, vous commencez à pleurer pour 5 euros, qu'est-ce que vous allez faire de votre vie ?", a-t-elle lancé au HuffPost.
Christophe Castaner et le fashion faux-pas
Le porte-parole du gouvernement a fait polémique pour ses propos après la visite de la chanteuse Rihanna à l’Elysée. Commentant pour Konbini la rencontre, il s’est dit "déçu" par les vêtements de la chanteuse, ajoutant : "Sa tenue était peut-être un poil trop ample". Tollé, Christophe Castaner a présenté ses excuses le lendemain sur LCI : "Ce sont des propros que je regrette (…) C'était dit sur le ton de l'humour."
Emmanuel Macron va reprendre un pass Navigo
Le chef de l’Etat était en déplacement à la Halle Freyssinet pour l’inauguration d’un incubateur de start-up. Relevant que le lieu était une ancienne gare, le président a ajouté : "Une gare, c'est un lieu où on croise les gens qui réussissent et les gens qui ne sont rien, parce que c'est un lieu où on passe, un lieu que l'on partage". La formule a eu du mal à passer…
Alain Juppé, hilare
L’ancien candidat à la primaire de la droite est sans concession pour le nouveau président de la République. Dans une interview à Sud Ouest, le maire de Bordeaux dénonce la communication autour du chef de l’Etat. "Je ne sais pas ce que c’est le macronisme. Dire qu’on veut faire de la politique autrement, ça me fait bien rigoler. Ça fait quarante ans que je l’entends dire", a-t-il déclaré, avant d’ajouter : "Avec la bienveillance des médias. Si j’avais dit: “Je suis Jupiter”, j’en aurais pris plein la gueule".
Marine Le Pen – Gérald Darmanin, score final 1 à 2
La députée Front National et le ministre de l’Action et des comptes publics ont eu un vif échange en juillet dernier à l’Assemble Nationale, comme le raconte France Info. S’adressant aux députés de la droite, Gérald Darmanin a lancé : "Il était un temps, pas si éloigné, où quand je siégeais sur ces bancs, c'était une honte d'être applaudi par le Front national". Marine Le Pen ne s’est pas retenue pour lui répondre, l’accusant de trahison : "Pas de leçon de morale, Judas". Le match aurait pu en rester là, mais le point final du clash revient au ministre, qui ne s’est pas laissé faire. "A la différence de vous, madame Le Pen, c'est que Judas restera dans l'Histoire", a rétorqué Gérald Darmanin.