Le projet de loi de finances pour 2025 du gouvernement demande un effort de cinq milliards d'euros aux collectivités locales les plus aisées. Et cela ne sera pas sans conséquences sur votre quotidien.
"Tout simplement que chacun respecte ses engagements : Jean-François Copé prend l'engagement de proposer un référendum aux militants et François Fillon a pris l'engagement de renoncer à un sous-groupe dès lors que celui-ci était engagé", a déclaré l'ex-ministre Brice Hortefeux, ce mercredi sur RTL, alors que l'UMP traverse une crise sans précédent.
"Je pense que sur le fond, il n'y pas de vrai problème", a ajouté le président de l'Association des amis de Nicolas Sarkozy.
Interrogé sur les déclarations de Jean-François Copé, affirmant que "les conditions" pour l'organisation d'un référendum interne à l'UMP n'étaient "pas réunies", Brice Hortefeux s'est dit "volontairement optimiste", estimant que "la raison finira par l'emporter".
Appel à la responsabilité
"Comme beaucoup de Français", Nicolas Sarkozy "a été atterré par le spectacle de divisions et de désordre. Il a donc décidé d'appeler les uns et les autres à la responsabilité", a rapporté Brice Hortefeux.
"Il a donc appelé Jean-François Copé et François Fillon de manière chaleureuse et amicale mais aussi claire et directe, ce qui dans l'expression sarkozyste a une signification", a-t-il poursuivi.
Selon lui, Nicolas Sarkozy "l'a fait par conviction et non pas par intérêt", "il s'est investi sans s'impliquer", estimant son rôle "utile, discret et efficace."
Avec AFP