La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Un compromis a été trouvé. Alors que l’UMP traverse actuellement une crise sans précédent, affaibli par trois défaits électorale, la guéguerre Fillon-Copé, la menace d’une faillite et plus récemment l’affaire Bygmalion, ses ténors sont parvenus mardi soir à trouver un terrain d’entente. A partir de dimanche et jusqu’en novembre, la direction du parti sera assurée par un triumvirat. Celui-ci sera composé de trois anciens Premiers ministres : Alain Juppé, Jean-Pierre Raffarin et François Fillon. Tous les trois pourront par ailleurs compter sur Luc Chatel. L’ex-ministre de l’Education nationale officiera en tant que secrétaire général. "Une direction collégiale, un mandat clair, à l’unanimité : belle soirée pour l’UMP !", a rapidement tweeté François Fillon. "Seule une décision unanime nous permet de repartir de l’avant", a de son côté salué Alain Juppé tandis que Jean-Pierre Raffarin a affirmé : "L’UMP est sauvée".
Copé évoque "la formule de la sagesse"Jean-François Copé a quant à lui estimé que la désignation de concert de ce triumvirat était "la formule de la sagesse". Celui qui s’apprête à rendre les rennes du parti d’ici quelques jours s’est également réjoui que "l’esprit d’union a prévalu (…) Dans cette période que nous traversons, il était capital de penser d'abord à nos militants, à nos sympathisants et à tous les Français et les Françaises de droite, de centre droit, qui partagent nos valeurs, nos combats et qui, naturellement, attendent de notre formation politique qu'elle soit rassemblée". Annoncée le 27 mai dernier à l’issue d’un bureau politique, la démission de Jean-François Copé sera effective ce dimanche 15 mai.
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