La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Un nouveau surnom pour François Hollande. Depuis son arrivée à la tête du PS, le président a écopé de nombreux sobriquets, plus ou moins flatteurs. Après avoir hérité de "Flamby", un dessert mou et sucré, censé représenter son tempérament, le chef de l’État s’est fait appeler "Pepère" dans les couloirs de l’Assemblée, et même "Le Pingouin" dans une chanson de Carla Bruni-Sarkozy. Cette dernière dément toutefois tout lien entre ce titre extrait de son dernier album et le président Hollande. Raillé dans son propre camp, le chef de l’État a même souffert des moqueries de Laurent Fabius, aujourd’hui ministre des Affaires étrangères.
"A-t-on jamais caché un éléphant derrière une fraise des bois ?", avait-il ironisé au moment où l’ancien compagnon de Ségolène Royal avait accédé à la tête du Parti socialiste. Même Guillaume Bachelay, son ancienne plume, s’en était donné à cœur joie en le qualifiant de "Fraise flagada" ou encore de "Guimauve Le Conquérant".
François Hollande, le nouvel Attila ?
Après avoir été affublé de sobriquets se moquant de ses compétences pour gérer le navire de l’Etat, François Hollande peut néanmoins se consoler avec le tout dernier surnom qui lui a été attribué. "Depuis plusieurs mois, ceux qui voient en lui un disciple d’'Attila', le roi des Huns, fin stratège politique du Ve siècle qui tenta en vain d’envahir la Gaulle, se multiplient", rapporte en effet 20 minutes. De dessert mou et coulant, le président Hollande serait donc passé à guerrier impressionnant.
Tout serait parti des propos de l’humoriste Tanguy Pastureau qui, en septembre 2013, avait déclaré au micro RTL : "Hollande, notre Attila au visage épais… qui attaque tel une sangsue sur un hémophile". Le comique faisait alors référence à "l’intervention, quelques mois plus tôt, de la France au Mali et qui avait failli se répéter le 31 août en Syrie pour punir le régime de Damas d’avoir utilisé des armes chimiques contre sa population", précise le quotidien gratuit.
Avec la récente annonce d’un nouveau gouvernement "resserré" et surtout, de "combat", François Hollande semble en effet se rapprocher d’Attila. En tout cas, davantage que de "Flamby".