De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Et une affaire de plus pour l’UMP. Cette fois-ci, sont concernées les pénalités infligées à Nicolas Sarkozy suite à l’invalidation de ses comptes de campagne en juillet 2013. Le parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire le 2 juillet. Celle-ci vise un présumé "abus de confiance" au préjudice de l’UMP qui aurait réglé la somme de 363.615 euros de pénalités à la place du candidat : Nicolas Sarkozy.
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Il y a un an, le Conseil constitutionnel avait estimé que le candidat Nicolas Sarkozy devait à la fois rendre l’avance forfaitaire de 150.000 euros et ensuite régler 363.615 euros correspondant au dépassement du plafond légal des dépenses de campagne.
Le parquet a été alerté le premier juillet par les commissaires aux comptes de l'UMP qui ont indiqué que le parti avait pris en charge ces pénalités à la place du candidat. Encore une nouvelle affaire judiciaire qui vise l'ancien chef de l'État s'érigeant en éventuel obstacle pour son retour politique.
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