L’année 2024 s’achève, laissant derrière elle un paysage politique marqué par des choix forts, qui ont particulièrement touché les seniors, entre réformes sociales, gouvernement en chute libre, avancées...
Et une affaire de plus pour l’UMP. Cette fois-ci, sont concernées les pénalités infligées à Nicolas Sarkozy suite à l’invalidation de ses comptes de campagne en juillet 2013. Le parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire le 2 juillet. Celle-ci vise un présumé "abus de confiance" au préjudice de l’UMP qui aurait réglé la somme de 363.615 euros de pénalités à la place du candidat : Nicolas Sarkozy.
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Il y a un an, le Conseil constitutionnel avait estimé que le candidat Nicolas Sarkozy devait à la fois rendre l’avance forfaitaire de 150.000 euros et ensuite régler 363.615 euros correspondant au dépassement du plafond légal des dépenses de campagne.
Le parquet a été alerté le premier juillet par les commissaires aux comptes de l'UMP qui ont indiqué que le parti avait pris en charge ces pénalités à la place du candidat. Encore une nouvelle affaire judiciaire qui vise l'ancien chef de l'État s'érigeant en éventuel obstacle pour son retour politique.
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