Ce lundi 25 novembre est celui de la journée internationale de lutte contre la violence faite aux femmes. Zoom sur The Sorority, cette application réservée aux femmes et aux minorités de genre qui propose de leur...
À Troyes, dans le fief de François Baroin, Nicolas Sarkozy tenait jeudi soir son deuxième meeting de campagne dans le cadre la présidence de l’UMP. Alors que cette réunion réunissant ses supporters arrivait à son terme, l’ancien président a tenu à revenir sur l’affaire Bygmalion qui a rebondi ces derniers jours avec les déclarations de François Fillon et les différentes mises en garde à vue.
Sans véritablement nommer la société qui a fait exploser la présidence Copé, Nicolas Sarkozy a expliqué aux militants présents que, pendant la campagne de 2012, il était "sur les estrades". "Est-ce que vous croyez vraiment que j'ai eu l'occasion d'aller regarder les contrats de toutes les sociétés qui travaillaient pour faire les meetings, pour faire le décor ?" a-t-il demandé à l’assistance.
Accompagné de Carla Bruni-Sarkozy ce soir-là, l’ex-chef d’État est resté dans le même registre que les fois précédentes dénonçant "l’instrumentalisation scandaleuse des affaires qu’on invente jour après jour" jurant à l’assistance qu’il n’avait "pas menti" sur les multiples affaires dans lesquellesson nom est cité.
"S'ils croient que j'ai peur, ils se sont trompés d'adresse" a averti Nicolas Sarkozy pour clore cette parenthèse.