Star Academy : les confidences de Lucie Bernardoni sur sa maladie génétique rare

Star Academy : l'ex-candidate Lucie Bernardoni se confie sur sa maladie

Le 22 décembre 2004, la chanteuse Lucie Bernardoni, candidate de la 4e saison de la Star Academy, affrontait Grégory Lemarchal, chanteur à la voix d'ange et grand gagnant de cette édition. L'artiste de 35 ans, qui a continué sa carrière dans la musique, sera une des deux répétitrices des primes de la 10e saison qui aura lieu ce samedi 15 octobre 2022.

Depuis plusieurs années, la chanteuse est atteinte d'une maladie génétique rare. C'est ce qu'elle avait confiée en juin dernier à Jordan Deluxe dans son émission Chez Jordan pour Télé-Loisirs. "Je sais que j'ai une maladie génétique depuis longtemps mais je me disais, j'ai pas à le faire et un jour j'en ai eu marre et c'est l'instinct qui a parlé (...) J'en ai eu besoin. J'en avais marre de devoir mentir quand j'étais fatiguée, quand j'avais des malaises", avait-elle déclaré et de poursuivre : "J'ai un syndrome d'Ehlers-Danlos, qui est une maladie génétique. On va dire pour expliquer simplement, beaucoup de gens en souffrent, qui est une maladie musculaire et vasculaire. Le collagène ne passe pas bien dans les tissus (...) J'ai été diagnostiquée assez tard, y'a beaucoup d'errance médicale, comme beaucoup de maladies génétiques".

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Une maladie qui pourrait l'empêcher d'avoir un second enfant

Maman d'une fille prénommée Lily Angelina, Lucie Bernardoni souffre au quotidien de cette maladie. "J'ai pas une grosse santé. Je pourrai certainement plus être enceinte, à mon grand désespoir (...) C'est quelque chose qui a été difficile à accepter, qui m'a fait tomber en dépression. Pendant longtemps et en tant que femme, je me suis longtemps cachée de la dépression. C'est jusqu'à vouloir sauter par-dessus un balcon", avait-elle expliqué. Plus récemment, la chanteuse avait évoqué une nouvelle fois sa maladie dans les colonnes de Public, affirmant qu'elle parvenait désormais à avoir une vie plus stable malgré la maladie. "Maintenant, je parviens à me reposer, avec les bons exercices de kiné et une hygiène de vie stable", expliquait-elle avant de nuancer : "cela n'empêche pas les douleurs physiques et certains questionnements".