Retraite, cancer, famille... Que devient l'ex-présentatrice de JT Marie-Laure Augry ?

Le visage de Marie-Laure Augry a marqué les fidèles téléspectateurs. Dans sa carrière, elle a été l’une des journalistes populaires auprès des Français. De ses débuts à l’ORTF dans les années 1970, elle accède en 1981 à la présentation du Journal de 13 Heures sur TF1 avec Yves Mourousi.

Un tandem phare de l’information qui réunit des millions de téléspectateurs sur la première chaîne jusqu’en 1988. Malgré son éviction du JT, la prédécesseuse de Jean-Pierre Pernaut garde ce lien avec les Français grâce à son magazine Allô Marie-Laure, qu’elle anime durant deux ans jusqu’en 1991. Elle rebondit en septembre 1991 sur La Cinq pour présenter Le Journal de 12h45 et Histoires vraies avec l’animateur Paul Lefèvre, jusqu’à la fermeture de la chaîne l’année suivante.

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Puis, de RMC jusqu’à France Télévisions, Marie-Laure Augry poursuit sa carrière journalistique avant de se retirer progressivement du petit écran. Que devient-elle aujourd’hui ? La native de la ville de Tours a récemment donné de ses nouvelles. Planet fait le point sur ses déclarations.

 Marie-Laure Augry touchée par la maladie : de quoi a-t-elle souffert ?

Début juin 2024, Marie-Laure Augry était invitée dans l’émission Chez Jordan diffusée sur C8. À cette occasion, le présentateur au nœud papillon est revenu sur les secrets de la vie et la carrière de l’ancienne présentatrice. Elle a notamment évoqué son combat face à la maladie après avoir été touchée deux fois par un cancer du sein en 1973.

"J’ai eu deux grossesses et deux cancers avec une récidive. Première grossesse, premier cancer du sein. Deuxième grossesse, récidive du cancer du sein. Donc deux grossesses, deux cancers : on arrête après...", confie la mère de famille qui aurait aimé "avoir un troisième enfant". "Mais là, c’était quand même prendre des risques."

L’ex-acolyte d’Yves Mourousi se souvient d'avoir porté "une perruque pendant le journal" lorsqu’elle était souffrante. Un subterfuge qui ne lui a pas laissé que de bons souvenirs. "Ça me cassait les pieds", a-t-elle déclaré que "c’était pas top la perruque". Aujourd’hui en rémission, Marie-Laure Augry n’hésite pas à prendre la parole pour sensibiliser au dépistage du cancer du sein sur la toile. "C’était il y a 40 ans, et depuis tout va bien. Vive la vie !! Un cancer du sein et une récidive, heureusement diagnostiqués à temps. N’hésitez surtout pas à vous faire dépister. La prévention est un facteur de guérison. Je peux en témoigner de nombreuses années après", a-t-elle écrit en octobre 2023 sur sa page Instagram.

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Qui partage la vie de Marie-Laure Augry ?

Aujourd’hui en rémission, la septuagénaire Marie-Laure Augry peut compter sur le soutien de ses proches et sa famille. À commencer par son époux de longue date, Jean-Pierre Gautier, journaliste-reporter d’images. "On s’est connus en reportage, ce qui est logique", affirme-t-elle devant Jordan De Luxe.

"La première fois qu’on a travaillé ensemble, c’était mes premiers reportages. C’était la campagne électorale de 1974. Et moi je commençais à faire du reportage tout juste parce qu’avant j’étais assistante, j’étais au desk etc. En allant couvrir l’un des meetings d’Arlette Laguiller, le JRI qui était là c’était Jean-Pierre Gautier. C’était la première fois qu’on a travaillé ensemble". Le début d’une longue histoire d’amour entre eux. Ils se marient quelques années après et deviennent parents de deux enfants.

Marie-Laure Augry dévoile le montant de sa retraite : à combien s’élève-t-elle ?

"Quand on s’appelle Marie-Laure Augry, combien on touche de retraite ?" L’ex-présentatrice du JT de TF1 n’a pas échappé à cette question indiscrète de Jordan De Luxe. Avant cela, elle est d’abord revenue sur le salaire qu’elle touchait à l’époque dans sa carrière.

"On n'avait pas du tout les salaires qu'on a aujourd'hui. Moi, j'ai fait plus des trois quarts de ma carrière dans le service public. Le TF1 privé, pour moi, ça a été deux ans…", a-t-elle réagi avant de glisser le montant de sa retraite. Elle s’élèverait aujourd’hui à "2 500 euros" de son propre aveu.