De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Un champion qui n’a pas livré tous ses secrets. En 2019, Paul El Kharrat faisait ses premiers pas dans Les 12 coups de midi sur TF1, où il brillait par ses connaissances face à Jean-Luc Reichmann. Durant près de six mois, le maître de midi s’attire la sympathie des téléspectateurset connaît une notoriété croissante sur le petit écran.
Après son élimination et 691 522 euros de gains empochés, Paul publiait son autobiographie Ma 153ème victoire en 2020. Ce féru d’histoire et d’écriture présentait l’année suivante son second opus Crimes et mystères à Paris. Cette année, le candidat atteint du syndrome Asperger a choisi de dévoiler une autre facette de sa personnalité avec Bienvenue dans mon monde, ce 12 octobre aux Éditions HarperCollins. "Derrière ce sourire de façade se cache un individu qui souffre énormément chaque jour", confie le Grenoblois de 23 ans.
"Jouer dans des films historiques serait une sorte de consécration"
En publiant ce nouvel ouvrage, Paul El Kharrat souhaite "montrer le revers extrêmement éreintant, sombre et dépressif de ma personnalité", auprès des fans. Pour autant, l’ex-maître de midi prend toujours du plaisir à écrire au quotidien. "C’est l’une de mes grandes passions. Je fais des listes et j’écris énormément". Quand il n’a pas la tête dans ses bouquins, l’écrivain s’illustre à la télévision dans Le club des invincibles, Fort Boyard sur France 2, Les Traitres sur M6 et à la radio dans Les Grosses Têtes.
Grâce à cette notoriété, Paul El Kharrat nourrit bien d’autres projets. "Peut-être commencer par faire du théâtre", nous glisse l’ancien champion. Déjà invité par Jean-Luc Reichmann sur le tournage de sa série policière Léo Mattei en 2020, l’ancien maître de midi nous confie être passionné par la comédie et la tragédie "shakespearienne, qui plus est". "J’ai bien hâte de pouvoir m’exercer parce que le fait de jouer dans des films historiques serait une sorte de consécration".
Néanmoins, le pensionnaire des Grosses têtes a le sens des priorités. "Il va falloir que je demande à qui m’adresser pour faire du théâtre", et d’ajouter avec certitude. "Je vais patienter, car mon heure viendra". Paul bientôt sur les planches ? L’appel est lancé.
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