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Situé dans le 8ème arrondissement de Paris, L'Elysée est le théâtre de rituels, de conversations confidentielles et parfois même d'histoires croustillantes. A proximité, une célèbre chanteuse a la chance d'observer de près les différents locataires, et ce depuis quatre mandats. Depuis une vingtaine d'année, Patricia Kaas habite juste en face du palais présidentiel.
Patricia Kaas bénéfie d'une vue direct sur le locataire du 55 rue du Faubourg Saint-Honoré. Si elle n'a encore eu l'opportunité de croiser le chemin de Brigitte et Emmanuel Macron, l'interprète de "Mademoiselle chante le blues" a quelques anecdotes avec ses prédécesseurs. Le premier, Jacques Chirac, lui aurait fait une drôle de proposition lors d'un congrès franco-allemand dans lequel la chanteuse était invitée au début des années 2000. En effet, l'ancien président aurait proposé de laisser son bichon Sumo s'accoupler avec Tequila, le bichon de l'artiste, a ainsi révélé le numéro 546 de Gala, paru le 2 décembre 2003. Avec Nicolas Sarkozy, la chanteuse a été invitée à un dîner d'état avec le président russe Dmitri Medvedev et son épouse, en mars 2010.
Patricia Kaas : cette période qu'elle n'a pas apprécié sous l'ère de François Hollande
Dans une interview accordée à VSD début 2017, Patricia Kaas déplorait les restrictions liées à la prolongation de l'état d'urgence par le gouvernement Hollande : "C'est le bordel. C’est horrible, on ne peut plus rien faire, on ne peut plus bouger, on est parqués derrière des barrières, je suis surprotégée depuis qu’ils ont fermé la rue du Faubourg-Saint-Honoré. Les taxis ne passent pas. Bon, je peux encore porter ma valise mais c’est quand même pénible. Et, à partir de 20 heures, lorsqu’ils ferment les barrières, même les piétons ne passent plus. Donc, quand tu invites quelqu’un à boire un verre, si tu ne laisses pas les noms en bas, personne ne passe. Et je suis désolée, mais c’est ton intimité. T’as pas envie que tout le monde sache qui vient et part de chez toi. Comme en plus je suis une personnalité, les gens jasent. Parfois, je discute avec les policiers, je leur demande : 'Mais qu’est-ce qu’il peut arriver ?' C’est devenu invivable."