La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
C'est Alexandre, le fils unique de Claude Brasseur, qui a ouvert la cérémonie pour les obsèques de l'acteur ce mardi 29 décembre. Près de 200 personnes étaient réunies dans l'église Saint-Roch, à Paris, pour lui rendre un dernier hommage. "Claude est parti le jour de la mort de son père, un 22 décembre. À leur manière, et pour l'éternité, ils se sont rapprochés", a d'abord déclaré Alexandre Brasseur, selon Le Parisien. Une référence à son illustre grand-père Pierre Brasseur, un des plus grands acteurs de sa génération.
Acteurs de père en fils, Alexandre Brasseur avait eu la chance de partager l'affiche avec son père en 2007 dans la pièce de théâtre "Mon père avait raison". Au-delà du père, c'est donc à l'acteur qu'a souhaité rendre hommage Alexandre Brasseur. "Je me souviens de lui dans 'Georges Dandin', mis en scène par Planchon. J'avais vu l'homme et ses faiblesses. Il avait réussi à me faire oublier qu'il était mon père. C'est une noble part de l'éducation silencieuse qu'il m'a transmise", a-t-il déclamé avec émotion, comme le rapporte le quotidien.
"La vie est belle. Et Dieu sait qu'il l'aimait effrontément"
Alexandre Brasseur, 49 ans, a ensuite fait l'éloge de la joie de vivre de son père, décédé à l'âge de 84 ans : "La mort est triste, mais la vie est belle. Et Dieu sait qu'il l'aimait effrontément". "Je pense à ma mère, je pense à mes enfants, à notre famille, à ses amis qui sont partis, à ceux qui restent, mais surtout, je pense à lui, l'enfant de la roulotte. Je revois ses parents, Pierre et Odette, qui ont gardé un œil lointain sur leur petit Claudy, dont l'enfance a disparu, mais qui reste l'homme qu'il est devenu, avec ses joies qui passent, ses chagrins qui restent", a continué l'acteur.
Le fils de Claude Brasseur a achevé son discours par une simple et émouvante déclaration d'amour à son père. "Tu disais que ta seule petite ambition serait de faire partie de la nostalgie de demain. Je crois que nous tous ici avons déjà la nostalgie d'hier. Merci Papa. On t'aime", a conclut Alexandre.