De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Après une longue période sans précipitations, le début du mois de mars s’annonce pluvieux sur l’Hexagone, pour le plus grand bonheur des jardiniers et des agriculteurs. Les prévisions de la semaine prochaine, du 6 au 12 mars, annoncent en effet l’arrivée des fameuses giboulées de mars, comme le rapporte La Chaîne Météo. Ces dites giboulées sont généralement caractérisées par les brusques chutes et remontées de températures qui les accompagnent. Pour ce qui est de la semaine à venir, le territoire métropolitain sera le terrain de rencontre de plusieurs influences météorologiques.
D’une part, un courant de nord-est froid et humide, porteur d’intempéries. De l’autre, la moitié sud du territoire verra également des averses, cette fois-ci atlantiques. Dès lundi, les côtes de la Manche et le nord de la Seine seront le théâtre des premières giboulées, éventuellement accompagnées de quelques flocons épars.
Giboulées de mars : une pluviométrie insuffisante pour compenser les effets de la sécheresse hivernale
Mardi 7 et mercredi 8 février seront les journées à plus fort potentiel pluviométrique à travers toute la France. Les averses à répétition qui nous attendent pourraient cependant ne pas suffire à pallier le niveau trop bas des réserves naturelles d’eau que sont les nappes phréatiques. Cette situation reste pour le moins inquiétante, et des mesures de restriction d’eau sont déjà en vigueur dans certains départements particulièrement affectés.
Seul le sud-ouest verra une pluviométrie assez significative pour les nappes phréatiques en question. Elle sera d’ailleurs synonyme de chutes de neige abondantes en montagne, à partir de 1 400 mètres d’altitude. Retrouvez ci-dessous la liste des 34 départements dans lesquels les giboulées de mars se feront sentir la semaine prochaine.
Pourquoi parle-t-on de "giboulées de mars" ?
On appelle "giboulées" les averses brèves, souvent accompagnées d'un vent sensible. Ces précipitations sont mêlées à de la grêle ou de la neige, et entrecoupées de moments d'ensoleillement. Pendant ces perturbations, le thermomètre chute brutalement avant de remonter aussitôt à la fin de l'épisode de giboulées.
Si nous avons l'habitude d'entendre parler de "giboulées de mars", ces averses ne tombent pas seulement le troisième mois de l'année, mais sur une période plus large qui s'étend de février à mai. Il arrive également que des giboulées surviennent en automne, en raison de l'instabilité causée par le changement de saison.