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- 1 - Andrew d’York, le fils d’Elizabeth II, accusé d’agressions sexuelles sur mineures
- 2 - La princesse Magaret, la sœur d’Elizabeth II, surprise à la plage avec son amant
- 3 - La Duchesse d’York prend littéralement son pied avec son amant à la piscine
- 4 - Kate Middleton affichée topless à la Une de Closer
- 5 - Le prince Harry crée la polémique avec son uniforme nazi et ses propos racistes
- 6 - La conversation très coquine entre le prince Charles et Camilla Parker Bowles
- 7 - Le prince William accusé d’avoir une maîtresse ?
- 8 - Le prince Harry victime d'un canular téléphonique
Andrew d’York, le fils d’Elizabeth II, accusé d’agressions sexuelles sur mineures
Alors que l’affaire Jeffrey Epstein déchaînait les médias aux États-Unis, un scandale sexuel a éclaboussé la royauté britannique.
Le 8 août 2019, le milliardaire américain Jeffrey Epstein avait été inculpé pour exploitation sexuelle sur mineures et associations de malfaiteurs en vue d’exploiter sexuellement des mineures. Quelques heures après son incarcération, le magnat avait été retrouvé mort dans sa cellule. Un suicide qui suscite encore aujourd’hui la controverse. Certains estiment qu’il aurait été tué pour que ses célèbres amis puissent, eux, échapper à des accusations ou des poursuites judiciaires.
Quelques heures après sa mort, plus de 2000 pages de témoignages ont été rendus publics par le tribunal de Manhattan. Certains témoignages accablants mettent en lumière les accusations de plusieurs femmes à l’encontre du prince Andrew et font éclater un scandale médiatique. L’une d’entre elles, Virginia Roberts Giuffre affirme avoir été "prêtée" au prince Andrew par Jeffrey Epstein en 2001 alors qu’elle n’avait que 16 ans. "Epstein m'a forcé à coucher avec le prince Andrew à plusieurs reprises. J'ai eu des relations sexuelles avec lui trois fois, y compris dans une orgie. Je savais qu'il était membre de la famille royale britannique, mais je l'ai simplement appelé "Andy", peut-on lire dans le rapport de la cour de justice de Floride en 2015.
Il y a quatre ans, ces accusations avaient déjà fait réagir le palais de Buckingham : "Il est catégoriquement démenti que le duc d'York ait eu une forme quelconque de contact ou de relation sexuelle avec Virginia Roberts. Toute affirmation contraire est fausse et sans fondement", pouvait-on lire dans un communiqué.
Aujourd’hui, la famille royale britannique a, une fois encore, nié ces accusations : "Cela concerne les procédures aux États-Unis, dont le duc d'York ne fait pas partie. Toute évocation d'actes illégaux envers des mineurs est absolument fausse", peut-on lire dans un communiqué transmis à la NBC.
La princesse Magaret, la sœur d’Elizabeth II, surprise à la plage avec son amant
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Bien avant ce terrible fait divers, d’autres scandales ont bousculé la célèbre dynastie. À l’image de la princesse Margaret, la sœur cadette d’Elizabeth II, qui a eu une aventure hors-mariage. En 1960, elle épouse le photographe Antony Armstrong-Jones au Royaume-Uni, qui devient comte de Snowdon. Contrairement aux autres mariages au sein de la famille royale, l’événement est considéré comme "le premier mariage moderne" de la couronne d’Angleterre en raison des artistes célèbres conviés aux festivités.
Une vie de couple idyllique qui sombre peu à peu à la dérive, en raison de leurs multiples infidélités. Pour autant, la plus médiatique reste celle de la princesse Margaret. Alors qu’elle se trouvait en vacances dans les Caraïbes, sur l’île Moustique en 1976, la sœur d’Elizabeth II est surprise en plein flirt avec un autre homme sur la plage par des paparazzi. Peu de temps après, l’identité de cet inconnu est levée : il s’agit de Roddy Llewellyn. Un énième scandale qui aura eu raison de leur couple, puisque la princesse rebelle et le photographe divorcent deux ans plus tard. Soit le premier prononcé depuis celui d’Henri VII au XVIème siècle.
Alors que la princesse Margaret décédait en 2002 à l’âge de 71 ans, son amant était présent lors de ses funérailles. L’occasion pour le Britannique de revenir sur leur aventure dans les médias, affirmant à l’époque ne pas avoir mesuré les retombés d’un tel flirt avec un membre de la famille royal. "Je n'ai pas pensé aux conséquences d'une affaire aussi médiatisée. Je suivais juste mon cœur", confiait-il selon des propos relayés par Gala. Depuis l’ancien amant est retombé dans l’anonymat.
La Duchesse d’York prend littéralement son pied avec son amant à la piscine
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En 1986, le prince Andrew, le fils de la reine Elizabeth II, épousait Sarah Ferguson et devenaient tous deux duc et duchesse d’York. Si le coup de foudre semblait être au rendez-vous, leur union va également connaître quelques failles. Notamment du côté de la jeune épouse qui s’est vite lassée de la vie monarchique.
Abandonnée par un mari absent, seule avec ses deux filles les princesses Béatrice et Eugénie d’York, la duchesse crée un nouveau scandale au sein de la famille royale. En 1992 lors d’un été familial à Balmoral, on apprend dans la presse à scandale que l’épouse du prince Andrew a pris du bon temps en son absence, à en croire un cliché sulfureux où on l’apercevait allonger près d’une piscine à St Tropez, en train de se faire lécher les pieds (au sens propre du terme) par le financier américain John Bryan.
Un plaisir fétichiste entre deux amants qui a fait jaser le monde entier. Toute la famille royale était furieuse, "Fergie" s'est retrouvée dans l'embarras et persona non grata de la monarchie. Le couple finit par divorcer en 1996 et l’ex-altesse royale du Royaume-Uni continue de faire d’elle autant dans les médias que sur les réseaux sociaux.
Kate Middleton affichée topless à la Une de Closer
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C’est le scandale qui a fait trembler les relations franco-britanniques. En 2012, le magazine Closer publiait des photos sulfureuses de Kate Middleton en vacances dans le sud de la France. Apparaissant seins nus en train de bronzer avec son mari le prince William, la Une de tabloïd française provoquait un énorme tollé outre-Manche.
Des clichés intimes volés qui ont bien évidemment scandalisé toute la famille royale, engageant une bataille judiciaire face au magazine people. "Cet incident représentait une sérieuse atteinte à la vie privée", déclarait le palais de Kensington dans un communiqué, en soulignant que "le couple royal souhaitait affirmer que ce type d'intrusion injustifiée ne devrait pas se produire".
En 2017, les dirigeants du magazine Closer mis en cause, à savoir Laurence Pieau (directrice de la rédaction) et Ernesto Mauri (directeur de publication), ainsi que deux paparazzi qui auraient été désignés comme les auteurs de ces clichés volés, avaient été déclarés coupables par le tribunal de Nanterre. À l’époque, la publication de ces photos leur avait valu l'an passé une amende de 45 000 euros.
Le prince Harry crée la polémique avec son uniforme nazi et ses propos racistes
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Avant de mener une vie bien rangée avec sa femme Meghan Markle et son fils Archie, le prince Harry a longtemps été considéré comme l’enfant terrible de la famille royale et pour cause. Durant son adolescence, le jeune homme a souvent fait la Une des tabloïds du pays. En 2005, lors d’une soirée déguisée, le fils de Lady Diana est photographié à son insu dans un uniforme nazi. Un scandale qui a eu un retentissement mondial. Quelques jours après la publication de ces clichés dans la presse, le prince s’est finalement excusé publiquement dans un communiqué : "Je suis vraiment désolé si j’ai choqué ou mis quiconque mal à l’aise. C’était un mauvais choix de costume et je m’en excuse", a-t-il affirmé.
En 2009, le prince Harry fait de nouveau parler de lui après qu’une vidéo de 2006 ait refait surface. Dans cette dernière, on entend le fils du prince Charles s’adresser à l’un de ses camarades de l’école militaire de Sandhurst en l’appelant "notre ami paki". Le terme "paki", qui désigne une personne pakistanaise, a une connotation très péjorative en Angleterre.
Nouveau scandale à l’été 2012. Le tabloïd The Sun publie des photos du prince Harry nu lors d’une soirée. Des photos sulfureuses qui font le tour du monde entier.
La conversation très coquine entre le prince Charles et Camilla Parker Bowles
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En 1993, le prince Charles et son premier amour, Camilla Parker Bowles, font la Une des tabloïds britanniques à cause de l’affaire du "tampon" ou appelé également le "Camilla gate". L’origine du scandale provient d’une conversation coquine datant de 1989 entre les deux amants. Alors qu’il est marié à Lady Di, le prince Charles aurait eu une conversation très intime avec Camilla. "Je veux me sentir tout contre toi, sur toi, de haut en bas, dedans et dehors. Oh, mon Dieu, je voudrais vivre caché dans ton pantalon, ce serait beaucoup plus facile de te voir", lui aurait-il affirmé. Ce à quoi elle aurait répondu : "Que vas-tu faire, te transformer en une paire de culottes ?". Le prince Charles lui aurait alors affirmé : “Je pourrais, Dieu me pardonne, me muer en Tampax".
Trois ans après cette conversation sulfureuse, le prince Charles et Lady Diana divorcent officiellement en août 1996.
Le prince William accusé d’avoir une maîtresse ?
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En avril dernier, la famille royale britannique a fait les choux gras des tabloïds anglais. D’après The Sun, Kate Middleton aurait écarté son amie la marquise de Cholmondeley Rose Hanbury du palais de Kensington. D’après le magazine, la duchesse de Cambridge aurait même demandé à son époux le prince William de l’éliminer de leur vie. Depuis, de nombreuses rumeurs ont commencé à circuler sur la possible infidélité de ce dernier.
À en croire les médias, le prince William aurait eu une aventure avec Rose Hanbury alors que sa femme était enceinte de leur troisième enfant. Un adultère qui ne serait pas passé inaperçu affirme le reporter Giles Coren : "Tout le monde était au courant de cette liaison, chérie", a-t-il écrit sur Twitter.
Une rumeur d’infidélité qui a très vite été démentie par les avocats du prince William : "La publication de fausses spéculations sur la vie privée de nos clients constitue une violation de la vie privée au sens de l’article 8 de la Convention Européenne des Droits de l’Homme", ont-ils écrit aux journaux britanniques.
Le prince Harry victime d'un canular téléphonique
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Le prince Harry a été victime d'un canular téléphonique qui ne doit certainement pas le faire rire. Alors qu'il pensait parler au téléphone avec Greta Thunberg et son père Svante, il a été piégé par deux youtubeurs russes, Alexei Stolyarov et Vladimir Kuznetsov, spécialisés dans les canulars téléphoniques. Ces derniers, qui avaient piégé auparavant Elton John ou encore Bernie Sanders, ont décidé de dévoiler les enregistrements.
Dans des extraits publiés sur le Daily Mail, le prince Harry a affirmé que sa vie était "bien meilleure" depuis son éloignement de la famille royale britannique. "À partir du moment où j'ai trouvé une femme qui était assez forte pour pouvoir défendre ce en quoi nous croyons ensemble, cela les a tellement effrayés qu'ils sont maintenant incroyablement en colère, ils veulent se battre, et tout ce qu'ils sont en train de faire maintenant, c'est essayer de détruire notre réputation et essayer de nous couler", aurait-il affirmé. En ce qui concerne ses titres royaux, le père d'Archie a expliqué : "Personne ne nous a dépouillé de nos titres. (...) On nous a juste demandé de ne pas les utiliser pour gagner de l'argent, ce que nous n'aurions jamais fait. Mais la presse s'est emparée du sujet pour donner l'impression que nous avions été dépouillés".
De même qu'il n'a pas mâché ses mots concernant la situation politique actuelle. "Malheureusement, le monde est dirigé par des gens très malades, donc c'est la jeune génération qui va faire toute la différence […] Les gens doivent se réveiller et la seule façon de réveiller les gens est une prise de conscience donc vous devez avoir des gestes forts", aurait-il expliqué.