Les plus belles perles de Karl Lagerfeld

La vie Selon Karl

"Mon autobiographie ? Je n'ai pas besoin de l'écrire : je suis en train de la vivre."

"Mon fonds de commerce, ça a toujours été de travailler plus que les autres pour leur montrer leur inutilité."

"D'où je tiens mon énergie ? EDF ( Envie, Désir et Force)."

"Mon désir, enfant, c'était de ne pas être un enfant. Je trouvais ça humiliant d'être un enfant. Humain de seconde catégorie."

"J'ai autour de moi des gens jeunes et beaux. J'ai horreur de regarder la laideur."

"Je n'ai jamais voulu avoir d'enfant. Parce que s'il avait fait moins bien que moi, je n'aurais pas aimé, et mieux que moi, je n'aurais pas aimé non plus."

"Je déteste les vacances ! Ça, c’est pour les gens qui font toujours la même chose au même endroit. Moi, je passe ma vie à courir de Milan à Paris, à New York, je travaille vingt heures par jour, de mon propre chef. Je suis la définition même de la profession libérale."

“De toute façon, je n’ai pas besoin de faire des courses puisque je ne mange jamais.”

La mode et le style selon Karl

"Je suis une sorte de nymphomane de la mode qui n'atteint jamais l'orgasme."
"Les pantalons de jogging sont un signe de défaite. Vous avez perdu le contrôle de votre vie, donc vous sortez en jogging."
“Je me souviens d’une créatrice qui disait que ses robes n’étaient portées que par des femmes intelligentes. Evidemment, elle a fait faillite.”
“Le vêtement ne doit pas t’aller ; c’est toi qui dois aller au vêtement.”
“L’élégance n’est ni une question de porte manteau, ni une question de porte-monnaie.”

Karlisme 1 et 2

“Voyez la vie en rose, mais n’en portez pas !”
“Pleurnicher sur son propre passé est le début d’une absence d’avenir.”
“Je trouve les tatouages horribles. C’est comme vivre dans une robe Pucci à plein temps.”
“Quand on est myope, les dix premières minutes après avoir enlevé ses lunettes, on a l’air d’un chien de la SPA qui voudrait se faire adopter, ça ce n’est pas mon look.”
“L’homosexualité est comme une couleur de cheveux, rien de plus. Et puis, cela évite une belle fille insupportable, disait ma mère”

La provocation selon Karl

“Si je sais combien j’ai sur mon compte bancaire ? Mais c’est une question de pauvre, ça !”
“Je dis toujours ce que je pense, et même parfois ce que je ne pense pas.”
“Si j’étais une femme russe, je serais lesbienne. Les hommes russes ne sont vraiment pas très beaux..”
“Ma mère disait ne jamais avoir été féministe car elle n’était pas assez laide pour ça.”
“La haute couture des Américains, c’est souvent la chirurgie esthétique, même très haute puisqu’il faut tout remonter.”

Karl selon Karl 1 et 2

“Je suis la modestie même.”
“J’ai toujours su que j’étais fait pour vivre comme je vis, que je serai cette sorte de légende.”
“J’ai dépassé l’égo.”
“Je n’ai ni remord ni regrets. Je suis amnésique du passé.”
“Je ne sors jamais sans mes fameuses lunettes noires. J’aime voir, pas être observé.”