Enfance dorée, religion, clip de rap... Les secrets de la brocanteuse Caroline Margeridon
Caroline Margeridon, la célèbre brocanteuse d'Affaire conclue, s'est confiée dans le podcast de Télé-Loisirs sur ses enfants ainsi que sur son enfance luxueuse. À cette occasion, Planet vous propose d'en savoir plus sur les secrets de sa vie.
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Caroline Margeridon : son fils a tourné un clip de rap à son insu dans son appartement 

La célèbre brocanteuse d'Affaire conclue, Caroline Margeridon, s'est confiée dans le podcast de Télé-Loisirs sur ses deux enfants, Victoire, âgée de 22 ans et Alexandre âgé de 21 ans. Aussi, elle a révélé que ce dernier s'était lancé dans le rap il y a quelques années.

"Quand il était petit, il trainait avec des rappeurs. Je ne suis pas du tout bourgeoise mais le côté 'Yo yo nique ta mère', ce n'est pas du tout mon univers. Il me mentait, il disait qu'il faisait du football américain dans le 15ème alors qu'en réalité, pas du tout, lance-t-elle, amusée. Il allait dans le 93, où il s'était fait une bande de potes. Il leur avait dit que j'étais concierge et qu'il était déscolarisé. Je lui avais offert une petite Twizy pour ses 16 ans. Il la garait loin et faisait croire qu'il venait en métro ! Il s'inventait une vie pour se faire accepter par cette bande de potes. Il est resté à la vie à la mort avec ces gamins. Maintenant, je les adore !", avait-elle expliqué à nos confrères.

Désireux de créer sa propre entreprise de production, Alexandre lui avait alors dévoilé un clip de rap tourné à son insu dans leur appartement parisien. "Il aimerait monter sa boite de production. Il m'a montré un clip vidéo qu'il a fait en cachette. Et là, je vois dans notre appartement un mort, de la drogue. Tu imagines, dans un appartement haussmannien avec des moulures ! (rires). Il a fait plus de 30.000 vues, il était hyper fier et m'a dit : 'C'est ma vie', ça le reconstruit énormément", avait-elle expliqué.

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Caroline Margeridon : ses confidences sur son enfance dorée

La célèbre acheteuse d'Affaire conclue a fait de rares confidences sur son enfance dorée dans le podacast de Télé-Loisirs. Son grand-père était un homme d'affaires "qui avait une grosse entreprise avec 4000 employés". 

"J'avais des parents qui nous ont élevés dans le luxe. On avait des chevaux de polo, une maison à Deauville", avait-elle expliqué et d'ajouter : "On nous a élevés dans des 5 étoiles, mais on allait aussi dans des routiers. Ce n'est pas l'argent qui fait l'éducation".

Par la suite, Caroline Margeridon est revenue sur sa séparation avec le jockey Gérald Mossé. "D'ailleurs, je n'en ai pas toujours eu de l'argent. Quand j'ai quitté le père de mes enfants, je suis parti avec rien à 4 heures du matin, avec deux valises sous le bras et mes couffins", avait-elle raconté et d'ajouter qu'elle a toujours protégé leurs enfants de cette séparation : "J'ai beaucoup protégé mes enfants en disant : 'Pauvre papa, il vit loin, il ne peut pas vous voir'. Mes enfants sont nés avec une structure, une colonne vertébrale, sans le déni ni la haine du papa qui était absent. J'ai toujours refusé de critiquer un père qui part, car les enfants n'y sont pour rien".

Caroline Margeridon s'est convertie au judaïsme

Dans le podcast "Parent d'abord" de Télé-Loisirs, la célèbre acheteuse d'Affaire conclue est revenue sur sa conversion au judaïsme. "A la base, chez les Margeridon, nous sommes une famille basque catholique, pas du tout pratiquante. Mais depuis que je suis enfant, comme j'étais le "vilain petit canard", j'allais dans des écoles privées, où 90% de mes amis étaient juifs. Les shabbats, les fêtes religieuses juives, c'est un univers dans lequel je suis née. J'adorais les parents de mes copains, que j'embrasse tous d'ailleurs. J'ai donc pratiqué étonnamment une religion qui n'était pas la mienne en allant chez mes amis", avait-elle expliqué.

C'est quelques années plus tard que Caroline Margerido a décidé de franchir le pas. "Ma conversion a été faite dans les règles de l'art. Tous mes amis m'ont dit : "Tu n'y arriveras jamais. Il va falloir 8 ans". Finalement, j'ai appris à lire la Thorah en hébreu en moins d'un mois. Quand on veut quelque chose, on l'a. Quand j'ai demandé à me faire convertir, le rabbin de la synagogue de la Victoire, qui est réputé être presque le plus dur au monde, m'a demandé pourquoi je souhaitais me convertir, je lui ai dit : "Je ne veux pas changer de religion car, pour moi, c'est ma religion". Ma conversion a pris au final trois ans. Et ça n'a rien changé à ma vie !", avait-elle raconté.