La marge vous permettant de ne pas être flashé sur l’autoroute par les voitures radar serait bien supérieure à 130 km/h. Et c’est la sécurité routière qui le dit.
Eddy Mitchell : ses confidences sur sa dépendance à la cocaïne
À l'occasion de la sortie de son livre Le Dictionnaire de ma vie, coécrit avec son fils Eddy Moine, le rockeur Eddy Mitchell a accepté de se confier sur son passé dans les colonnes du Journal du dimanche.
Dans cette interview, la star de 78 ans a accepté de revenir sur ses anciens démons, la dépendance à l'alcool, au tabac ainsi qu'à la cocaïne. Avec son franc-parler légendaire, le grand ami de Johnny Hallyday, a révélé avoir été dépendant à "la cigarette, l'alcool et un peu de came". Aussi, on apprend qu'il a consommé de la drogue quand il travaillait "sous la contrainte, à l'instar de cette tournée Europe 1 en 1976", a-t-il expliqué et d'ajouter : "J'avais besoin d'un stimulant. J'ai fait toute la tournée sous coke, puis j'ai arrêté aussi sec", a-t-il affirmé.
Cette dépense pharamineuse pour Johnny Hallyday
Lors de cet entretien, l'interprète de Sur la route de Memphis s'est également souvenu d'une dépense folle qu'il avait faite pour son ami Johnny Hallyday. Ce dernier lui avait demandé de lui apporter une guitare de luthier de Nashville : "Du sur-mesure, fait main en trois semaines, que je paie 30 000 dollars de ma poche", a-t-il expliqué et d'ajouter : "Je la rapatrie à mon pote – qui oubliera d'ailleurs au passage de me rembourser pendant un bon petit moment – puis je vais l'écouter au Zénith. Il attaque Tutti Frutti, deux accords, sur cette guitare de luxe. Et à la fin de la chanson, bling, je le vois qui la jette dans le public ! Là, j'ai regardé 30 000 dollars partir en fumée".
Une sacré mésaventure qu'il n'oubliera sans doute jamais.