Pendant la période des fêtes de fin d’année, une nouvelle méthode de fraude particulièrement sournoise émerge : des faux conseillers bancaires qui utilisent WhatsApp pour tromper les Français.
Un phénomène météorologique particulier a été observé le 24 juin dernier au-dessus de Genève. Une étrange formation nuageuse truffée d’éclairs zébrant le ciel a stagné sur la ville pendant un moment et a été Immortalisée par un photographe. La photo a fait le tour du web et enflammé l’imagination des fans de complots. Ce nuage, certes impressionnant, est pourtant loin d’être extraordinaire.
Si ce phénomène fait tant parler de lui, c’est à cause de sa localisation : juste au-dessus du Centre européen pour la recherche nucléaire (Cern) et de son accélérateur de particules. Ce dernier propulse des matières à grande vitesse dans un tunnel de près de 27 km qui court sous la ville de Meyrin, à Genève, et sous deux autres communes françaises.
D’après les anti-conspirationnistes, cet accélérateur servirait des desseins destructeurs visant à créer des trous noirs et surtout des portails vers d’autres univers ou dimensions.
Le mystérieux programme "AWAKE"
Quelques jours après la diffusion de la photo, le collectif Freedom Fighter Times a publié une vidéo sur YouTube pour incriminer l’énorme machine, rapporte The Sun : "C'est pour cela que le temps se dérègle partout sur la planète ? (…) Des gens ont vu des visages dedans (le nuage), c'est incroyable qu'ils détraquent la nature ainsi, mais qu'ils continuent à le nier. (…) Quels portes et portails sont ouverts dans ce nuage ?".
Une paranoïa d’autant plus présente que le Cern a lancé un nouveau programme en 2013, intitulé "AWAKE", soit "Eveillé" et que les scientifiques travaillent, d’une part, sur une machine capable d’atteindre des vitesses encore plus importantes, d’autre part sur le développement de nuages artificiels pour étudier le changement climatique.
Même si l'auteur de la photo a formellement nié croire en ces théories, pour les anti-conspirationnistes, l’ouverture d’un portail vers l’enfer n’est plus très loin.