Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
Aïe, aïe, aïe ! Les propriétaires ont de quoi se ronger les sangs… Puisqu’en 2023, le montant de la taxe foncière risque bien d’exploser une nouvelle fois. Une mauvaise surprise pour les propriétaires qui ont déjà payé beaucoup plus cher cette année. Comme l'explique le journal Les Echos, le projet de loi de finances ne plafonnera pas la révision des valeurs locatives, base du calcul de la taxe foncière. Le ministre de l'Economie Bruno Le Maire a annoncé la douloureuse : la revalorisation des bases devrait être de 7% l'année prochaine.
Une hausse de la taxe foncière a mécaniquement un impact sur d’autres impôts. Tous les prélèvements dont le calcul repose intégralement ou partiellement sur la valeur locative cadastrale du bien immobilier auquel ils sont rattachés sont concernés. C’est notamment le cas de la taxe d’enlèvement des ordures ménagères (TEOM), dont le taux avait déjà progressé l’année passée.
Taxe foncière 2023 : sait-on à combien est chiffrée la hausse ?
Naturellement, l’impact exact de la hausse du taux de taxe foncière sur tout bien immobilier dépendra de la nature précise de ce dernier. Pour autant, il est possible de rappeler les valeurs moyennes : entre 2010 et 2020, le montant moyen de l’impôt qu’ont à payer les propriétaires a grimpé de près de 28%. Sur la seule année 2021, il a augmenté de 2,6% et de 4,7% en 2022. Sans surprise, c’est l’inflation qui est à blâmer pour cette situation toujours plus onéreuse.
Notons cependant que la hausse de la taxe foncière est théoriquement compensée par l’augmentation du prix des loyers. Si toutefois cela ne suffisait pas, il faut également savoir qu’il existe des possibilités de plafonnement, de dégrèvement et même d'exonération, toujours soumises à condition. La liste.